Le Programme de désarmement démobilisation relèvement communautaire et la stabilisation PDDRC-S, a annoncé des avancées significatives dans les efforts de paix en territoire de LUBERO. 287 ex-combattants ont été démobilisés, réinsérés dans la vie civile grâce au financement de l’unité d’appui des Nations-Unies dans la […]
A LA UNEKalemie, 21 septembre 2024, La retraite stratégique dédiée à la relance de la vaccination de routine dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika s’est enfin conclue, marquant une étape significative dans l’engagement des autorités et des acteurs de la santé à améliorer les taux […]
A LA UNEKalemie, le 19 septembre 2024, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) a organisé une importante réunion à Kalemie pour présenter ses priorités opérationnelles pour l’année 2025. Face à un contexte financier particulier, le HCR s’efforce d’optimiser ses ressources tout en maintenant son […]
A LA UNEL’atelier d’appropriation du Nexus par les autorités au Tanganyika a connu la participation du Gouverneur de la province, les 10 ministres provinciaux, les chefs de division provinciale, les membres de la société civile, les représentants des organisations nationales et internationales et les Représentants des Agences, […]
Les différentes recommandations issues du débat public organisé au mois de mai à Kalemie au Tanganyika dans le cadre du projet Pamoja-Rdc ont été remises au Ministre provincial en charge de l’environnement, transport et porte parole du gouvernement l’honorable Kalonda Kantala Joseph Barnabé, par le […]
A LA UNELes différentes recommandations issues du débat public organisé au mois de mai à Kalemie au Tanganyika dans le cadre du projet Pamoja-Rdc ont été remises au Ministre provincial en charge de l’environnement, transport et porte parole du gouvernement l’honorable Kalonda Kantala Joseph Barnabé, par le staff de la Radio communautaire Ndenga News ce vendredi 06 septembre 2024.
Ce document très important qui contient les besoins de la population permettra à l’autorité provinciale de répondre aux demandes de ses administrés qui se sont exprimé lors de ce débat public notamment la lutte contre les inondations dans Ville de Kalemie et dans province du Tanganyika en général.
Le projet Pamoja vise à faire participer la population à la gestion de la chose publique et la rapprocher auprès des autorités publiques afin de répondre à leurs problèmes quotidiens
Par La rédaction de Ndenga News
Ce sont les universités libre de Bruxelles ULB et celle de Mons UMONS qui ont remis à Kishiba Fitula Gilbert de l’université de Lubumbashi, ces deux médailles de haute portée symbolique. C’était au cours de deux jours d’intenses activités qui se sont déroulées à Lubumbashi […]
A LA UNECe sont les universités libre de Bruxelles ULB et celle de Mons UMONS qui ont remis à Kishiba Fitula Gilbert de l’université de Lubumbashi, ces deux médailles de haute portée symbolique. C’était au cours de deux jours d’intenses activités qui se sont déroulées à Lubumbashi dans la salle de conférence internationale Monseigneur Tharcisse Tshibangu Tshishiku de cette institution universitaire publique.
Pour les deux représentants de ces deux grandes universités belges qui ont pris la parole, le Recteur Kishiba Fitula Gilbert est une personnalité exceptionnelle dont les mérites et le savoir faire, ne sont plus à démontrer. Sa grande personnalité et son implication au plus haut point dans le cadre de ce partenariat privilégié, sont des atouts irréfutables qui ont pesé en sa faveur pour l’obtention de ces médailles de grande valeur sur le plan prestige ont ils argumentés. C’est pour la première fois qu’un recteur d’une université reçoit au même moment, ce genre des médailles de deux universités de la Belgique, au cours d’une même cérémonie ont ils conclu en substance.
Il faut signaler que les deux boitiers de couleur noire et blanche qui contenaient ces bijoux dorés, ont été réceptionnés avec joie immense, enthousiasme et grande fierté par le professeur ordinaire Kishiba Fitula Gilbert recteur de l’université de Lubumbashi, qui n’a pas tari d’éloges à l’endroit de la coopération. Ce vice président de l’agence universitaire francophone AUF en sigle, qui a été fort surpris par cette décoration internationale, a remercié toutes les autorités de son pays, du chef de l’État, en passant par l’actuel locataire de la primature jusqu’à son ministre de tutelle.
Il a rendu un vibrant hommage à la délégation belge composée d’une trentaine des personnes qui s’est déplacée jusqu’à Lubumbashi, pour finir par dédier ces médailles à tous les corps constitués de l’université de Lubumbashi. Des membres du comité de gestion, en passant par les académiques et scientifiques, pour finir par les administratifs, les para médicaux et les étudiants dans leurs diversités; tous ont été vivement et chaleureusement remerciés au cours de son allocation de circonstance.
Pour un membre de la conférence des chefs d’établissements du Haut Katanga, le recteur Kishiba Fitula Gilbert reste pour nous ce chantre inégalé de la qualité, un grand défenseur de l’excellence dans sa phase pure. C’est un homme atypique qui a amplement mérité ce prestigieux prix historique que nous saluons a t-il indiqué.
Par BENI RASHIDI / RADIO PHOENIX UNIVERSITÉ
Le collectif des conseillers communaux de la RDC en général, et de la ville de Kisangani en particulier, plaident pour une amélioration de leurs conditions socio-professionnelle, et recommandent à la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, de restaurer leur immunité. Ces derniers sollicitent l’implication de la […]
A LA UNELe collectif des conseillers communaux de la RDC en général, et de la ville de Kisangani en particulier, plaident pour une amélioration de leurs conditions socio-professionnelle, et recommandent à la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, de restaurer leur immunité.
Ces derniers sollicitent l’implication de la cheffe du gouvernement pour une prise en charge totale de 915 conseillers communaux de la République Démocratique du Congo.
C’était dans une déclaration lue devant la presse au gouvernorat de la province de la Tshopo, ce lundi 02 septembre 2024.
Les conditions socio-professionnelle
Les élus locaux décrivent leurs conditions de vie socio-professionnelle trop difficiles. Ces derniers depuis qu’ils avaient commencé leur travail, ils n’ont jamais touché un rond depuis que leur mandat a été validé, ça fait quasiment 7 mois. Les conseils communaux souffrent du manque criant des infrastructures.
À cette période de la rentrée scolaire, les conseillers communaux disent n’avoir pas de quoi assurer la rentrée de leurs enfants. Ils demandent à la première ministre Judith Suminwa Tuluka, de mener une bonne politique.
« excellence madame la première ministre, chef du gouvernement, vous êtes sans ignorer que, depuis notre installation, nous n’avons jamais été payés : pas des frais de fonctionnement, moins encore nos émoluments. Cette situation met en péril la dignité et l’indépendance des élus locaux que nous sommes », a commenté Komete Maboko président du collectif des conseillers communaux.
Et d’ajouter :
«conformément au calendrier scolaire, aujourd’hui c’est la rentrée scolaire. Les conseillers communaux ne savent pas comment leurs enfants vont commencer les études, car depuis la validation de notre mandat comme élus locaux, nous avons respecté la loi de la République, en démissionnant dans nos postes respectifs».
Dysfonctionnement organes communaux
Les conseillers communaux ont avoué l’existence d’un dysfonctionnement entre les deux organes communaux : le conseil et l’exécutif communal. A l’origine, l’application des lois qui régissent ces deux institutions financières communales. Le conseil qui régi par la loi organique n°08/016 du 7 octobre 2008, et l’exécutif communal régi par la loi n°082 du 02 juillet 1998.
« Madame la première ministre, la dichotomie entre les lois sus évoquées créent le dysfonctionnement total. Certains bourgmestres en place, se disent non redevables devant les conseillers communaux. Entre-temps, ils continuent à engager les communes sur le plan administratif et financier sans l’approbation des élus locaux », a-t-il dénoncé.
Par ailleurs, il a été convaincu que les élections de conseillers urbains, de bourgmestres et bourgmestres adjoints, seraient une solution appropriée. Vu l’incompatibilité de deux organes communaux, nous vous suggérons qu’il soit ordonné aux bourgmestres en fonction d’assurer les affaires courantes sans engager nos communes respectives, et faire tomber la loi n°082 du 02 juillet 1998, a-t-il ajouté.
Le président du collectif des conseillers communaux, a aussi demandé à Judith Suminwa Tuluka à travers cette déclaration, l’instruire la police nationale congolaise, et les services de sécurité dans certaines villes du pays, de respecter strictement l’article 120 de la loi organique n°08/016 du 7 octobre 2008, qui consacre les immunités des conseillers communaux.
Par Vincent Mashauri, Ndenga News à Kisangani/Tshopo
La rentrée scolaire à Uvira a été marquée par une faible mobilisation dans de nombreuses écoles.Tant dans des établissements publics que conventionnés, de nombreux enseignants ont fait grève, répondant à un appel lancé par leurs syndicats. Lors d’un passage dans plusieurs écoles, notamment à l’école […]
A LA UNELa rentrée scolaire à Uvira a été marquée par une faible mobilisation dans de nombreuses écoles.Tant dans des établissements publics que conventionnés, de nombreux enseignants ont fait grève, répondant à un appel lancé par leurs syndicats.
Lors d’un passage dans plusieurs écoles, notamment à l’école primaire Action Kusaidiya, Lukula et institut Mwanga d’Uvira, le constat reste le même avec une présence importante d’élèves.
Malheureusement, l’absence des enseignants a considérablement perturbé le déroulement des cours. À l’institut Mwanga par exemple, plus de 400 élèves étaient présents mais n’ont pu suivre un enseignement normal.
Antoine Shauri Sikalabanza, préfet des études de l’institut Mwanga d’Uvira, craint que ces mouvements de grève à répétition n’entraînent une baisse des effectifs dans les écoles.
Par Radio Ndenga News
L’organisation non gouvernementale Femme main dans la main pour le développement intégral a procédé ce samedi 31 août 2024 à la remise des Kits scolaires composés des objets classiques à environ 30 filles de différentes écoles de la Ville. Cette cérémonie présidée par la représentante […]
A LA UNEL’organisation non gouvernementale Femme main dans la main pour le développement intégral a procédé ce samedi 31 août 2024 à la remise des Kits scolaires composés des objets classiques à environ 30 filles de différentes écoles de la Ville.
Cette cérémonie présidée par la représentante du proved Kasaï-Central 1, madame Sydonie Ndelela, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet KOICA exécuté par l’ONG FMMDI sous l’appui du PNUD, dans son volet réinsertion socioéconomique et scolaire.
L’activité s’est tenue en présence de plusieurs invités, dont le président du cadre de concertation de la société civile, le médecin chef de zone de Lukonga, les élèves concernées et leurs parents.
Pour sa part, Madame Sydonie Ndelela qui parle au nom du proved indique que cette cérémonie consiste à appuyer matériellement l’éducation des enfants tout en rendant leur avenir meilleur.
Signalons que l’activité a eu lieu au siège de FMMDI situé dans la localité Biancky, quartier Malandji, commune de Kananga.
Par Félix Mulumba Kalemba Ndenga News Kananga
L’atelier d’appropriation du Nexus par les autorités au Tanganyika a connu la participation du Gouverneur de la province, les 10 ministres provinciaux, les chefs de division provinciale, les membres de la société civile, les représentants des organisations nationales et internationales et les Représentants des Agences, […]
NationaleL’atelier d’appropriation du Nexus par les autorités au Tanganyika a connu la participation du Gouverneur de la province, les 10 ministres provinciaux, les chefs de division provinciale, les membres de la société civile, les représentants des organisations nationales et internationales et les Représentants des Agences, Fonds et Programmes de Nations-Unies. Un atelier qui a permis de réfléchir sur cette approche qu’est le Nexus qui vise à assurer la convergence des interventions, des stratégies et des programmes des 3 piliers dont Humanitaire, Développement et Paix afin de réduire les besoins humanitaires et les vulnérabilités à long terme. Le Gouverneur de la province qui a présidé cet atelier, a indiqué que le Nexus au Tanganyika doit être une approche de coordination stratégique pour le renforcement d’un leadership dans la gestion et la coordination des partenaires, le renforcement du cadre provincial inclusif.
« l’approche nexus retrouve son sens dans le programme d’actions du Gouvernement provincial (2024-2028) que j’ai présenté auprès des honorables députés à l’assemblée provinciale car il est, désormais, question de fédérer tous les acteurs sur les priorités actuelles de la province du Tanganyika, Le nexus doit ainsi devenir un cadre unique pour le dialogue entre le Gouvernement Provincial, les acteurs, les ONG et le secteur privé, il doit être un cadre unique pour le suivi et l’évaluation de la mise en œuvre du Programme de Développement Provincial et enfin un cadre unique de redevabilité.» a indiqué le Gouverneur Christian Kitungwa Muteba.Pour faciliter l’appropriation du Nexus par les autorités, une restitution des travaux antérieurs et les étapes franchies dans la mise en œuvre du Nexus au Tanganyika a été faite au profit de participants en vue de redynamiser le cadre de coordination provincial nexus, son Secrétariat et ses trois fonctions de coordination, suivi évaluation et communication sous le leadership du Gouverneur et les membres de son Gouvernement. Amuri Aleka Alexandre Chargé de programme et analyste Nexus au Bureau du Coordonnateur Résident des Nations Unies au Tanganyika a remercié le Gouverneur pour son engagement, qui témoigne d’un leadership et d’une volonté politique du gouvernement provincial pour porter l’approche nexus avec l’Etat au centre, pour le bien-être de la population , il a aussi ajouté que le Nexus vise à améliorer, sur la base d’analyses communes, la complémentarité, la convergence, la cohérence entre les actions humanitaire, de développement et de paix. Autrement dit, il s’agit d’une nouvelle manière de travailler qui permet de dépasser les silos entre les trois piliers.Les échanges et différentes présentations sur cette approche ont permis aux membres du Gouvernement, leurs services techniques et les différents acteurs et actrices impliqués dans la mise n’œuvre du Nexus de s’approprier de l’approche et de sa coordination dans la province.
Par la Rédaction – Radio Ndenga News
Du Mercredi 28 au Jeudi 29 août, différentes allocutions, exposés et discussions entre les participants, ont permis d’aboutir au consensus sur les modalités de la relance des réunions et activités du cadre de coordination NEXUS et les groupes thématiques.D’après la présidente de l’équipe provinciale des […]
NationaleDu Mercredi 28 au Jeudi 29 août, différentes allocutions, exposés et discussions entre les participants, ont permis d’aboutir au consensus sur les modalités de la relance des réunions et activités du cadre de coordination NEXUS et les groupes thématiques.D’après la présidente de l’équipe provinciale des Nations-Unies au Tanganyika, Madame Danielle Cathie MONNI, ces travaux, » visent à informer le Gouverneur de province et les membres de son gouvernement sur l’état de la mise en œuvre des différents programmes exécutés par les agences de l’ONU, pour leur appropriation”, a-t-elle souligné, dans son mot d’ouverture.
Différentes présentations ont ensuite permis de décliner les composantes de l’approche NEXUS au Tanganyika. Ces composantes formulés en 4 groupes thématiques sont mis sous la supervision et coordination des membres du Gouvernement Provincial suivant les attributions. A titre exemplatif, Le groupe sécurité alimentaire et nutrition, est coordonné par le ministre provincial de l’agriculture pêche, élevage et développement rurale ; tandis que le ministre de l’Intérieur et sécurité se charge du groupe Mouvements des populations. Le groupe services sociaux de base sera sous le lead du ministre de la Santé et celui de violences basées sur le genre étant l’apanage de la ministre du genre famille et Enfant. Le représentant du Coordonnateur résident des Nations-Unies au Tanganyika, Monsieur AMURI ALEKA Alexandre, a, quant à lui, remercié le gouvernement provincial pour l’implication enthousiaste dans l’organisation de ces assises. Il a invité les acteurs impliqués et les ministres sectoriels à l’appropriation de l’approche NEXUS pour le bien-être durable des populations. «
Nous espérons que cet atelier raffermit vraiment les relations, la collaboration et la coordination entre le gouvernement provincial, les ONGs nationales et internationales, les Nations-Unies et la société civile qui constituent les cinq acteurs au sein du NEXUS. »Pour faire face aux besoins multiformes de sécurité liés aux conflits intercommunautaires et à l’activisme des groupes armés, le gouverneur Christian KITUNGWA a invité toutes les parties prenantes à une mutualisation d’efforts pour réduire les besoins humanitaires chroniques des populations vulnérables sur l’ensemble de la province du Tanganyika. » ces travaux nous ont offerts une occasion pour réfléchir afin de réduire les vulnérabilités dont sont victimes nos populations. L’approche NEXUS trouve son plein sens dans la mise en œuvre du programme du gouvernement ; il est question ici de fédérer tous les acteurs impliqués sur les priorités actuelles de la province du Tanganyika » a-t-il confié dans son mot de clôture. Il faut noter qu’à l’issue de ces travaux, plusieurs recommandations ont été formulées sous forme de perspectives dans différents exposés. Les participants se sont convenus de convoquer une réunion ad hoc, dans les prochains mois pour approfondir le contenu de chaque groupe de résultats collectifs sous le lead des ministres sectoriels impliqués.
Par la Radio Ndenga _Rédaction
Les licenciés en droit ont prêté serment en qualité de maître avocat, et ceux qui avaient déjà fini le stage ont renouvelé leur engagement, ce mercredi 28 août, à la salle d’audience de la cour d’appel de la Tshopo, dans la ville de Kisangani. Selon […]
A LA UNELes licenciés en droit ont prêté serment en qualité de maître avocat, et ceux qui avaient déjà fini le stage ont renouvelé leur engagement, ce mercredi 28 août, à la salle d’audience de la cour d’appel de la Tshopo, dans la ville de Kisangani.
Selon le bâtonnier au barreau de la Tshopo, le premier groupe d’impétrants a bel et bien rempli les conditions pour être admis au stage, et le second groupe a presté au stage pendant 2 ans, tel que prescrit la loi.
Après avoir approuvé la conformité des impétrants à toutes les étapes, en donnant leurs avis, le ministère public tout comme le bâtonnier au barreau de la Tshopo, ont demandé au juge président pour cette séance, de donner acte à la prestation de serment pour les nouveaux, et au renouvellement du serment pour les anciens.
Au total, 79 impétrants, dont 18 ont renouvelé leur serment et se sont inscrits comme maître avocat au tableau du barreau de la Tshopo, et 61 ont prêté serment et ont été admis au stage de 2 ans.
Au sortir de la salle d’audience, à l’issue du renouvellement de son serment, maître Godefroid Mwanabwato, est ravie et prêt à continuer son métier d’avocat.
« C’est une grande joie de renouveler son serment d’avocat. Et c’est aussi la même joie partagée pour les confrères qui viennent aujourd’hui d’être inscrits sur la liste de stage. C’est vraiment une très bonne chose », a-t-il exprimé.
Selon maître Godefroid Mwanabwato, l’avocat c’est le sel de la justice sans l’avocat la justice devient fade, et ne fonctionne pas normalement. En tant qu’auxiliaire de justice, une justice qui est aujourd’hui en pleines mutations en pleines formes, je crois que ces réformes doivent se faire aussi avec l’accompagnement de l’avocat, a renchéri maître Godefroid Mwanabwato.
Désormais inscrit sur la liste de stage, maître François MASULI, licencié en droit privé judiciaire depuis 2011, retrace son parcours jusqu’ici, et ne sait pas exprimer sa joie 13 ans après avoir été licencié de l’Univrrsité de Kisangani.
« Après avoir fini les études universitaires où on a décroché un diplôme de licence en droit, cela ne suffisait pas pour être inscrit à la liste de stage. On a dû passer un examen sui generis qui nous a permis en sorte que nous puissions être, d’abord retenu comme avocat stagiaire, et au-delà de cet examen, on a eu aussi à passer de bons moments de la formation. Plus de 7 jours de la formation où on nous a parlé de la déontologie d’un avocat », a-t-il raconté.
Après cette étape franchie, Me François Masuli a affirmé avoir été tellement content du fait que ça fait longtemps qu’il devrait y être là. Il a déclaré que ceci était un changement de rythme de vie pour lui.
« J’ai été licencié en droit privé judiciaire depuis 2011, cela fait pratiquement 13 ans jour pour jour que je n’ai pas embrassé la profession. Et aujourd’hui je suis tellement content et épaté, je ne sais pas comment exprimer parce que ça fait longtemps que je devrais déjà être inscrit au tableau, mais aujourd’hui je suis inscrit à la liste de stage. Ça fait ma joie et c’est un changement radical dans ma vie », a ajouté maître avocat stagiaire, François Masuli.
Cette cérémonie de prestation et du renouvellement du serment de maître avocat se tenait, alors que ça pleuvait en intermittence quasiment tout l’avant midi dans la ville de Kisangani.
Par Vincent Mashauri, Radio Ndenga News à Kisangani
Les raisons qui expliquent la fermeture du site de déplacés de Kikumbe, sept ans après son installation, sont notamment la pacification et la sécurisation des zones de retour ainsi que le désir volontaire de plusieurs déplacés de retourner dans leurs villages d’origine. Sur plus de […]
A LA UNELes raisons qui expliquent la fermeture du site de déplacés de Kikumbe, sept ans après son installation, sont notamment la pacification et la sécurisation des zones de retour ainsi que le désir volontaire de plusieurs déplacés de retourner dans leurs villages d’origine.
Sur plus de 1200 ménages identifiés, soit plus de 3000 personnes sur ce site, 1063 ont reçu du cash pour leur relocalisation après avoir manifesté le désir de retourner dans leurs villages d’origine ou d’aller vivre ailleurs. À ceux-là s’ajoute un autre lot de 213 ménages d’environ 600 personnes ayant choisi de rester sur place pour l’intégration locale, qui bénéficieront d’un appui en construction d’abris semi-durable et en Activité génératrices des revenus.
S’exprimant au nom des bénéficiaires, MARTIN KALONDA, a adressé ses remerciements au HCR, pour la matérialisation de ce processus, longtemps rêvé. Selon lui, les frais d’accompagnement reçus leur permettront d’initier les petits projets pour leur autonomisation
» Nous remercions le HCR pour ce grand travail réalisé dans notre site. C’est incroyable mais vrai. Ils nous ont donné un premier pas de la solution durable. Avec ces fonds, les autres vont cultiver les camps, faire des petits commerces, les autres vont acheter des petits bétails pour l’élevage «
Madame Cathie MONNI, cheffe de bureau HCR sous-délégation du Tanganyika, se félicite de cette étape franchie par son organisation avec le concours des agences sœurs. Elle précise que la fermeture de ce site s’inscrit entre autres dans le cadre du programme d’appui aux solutions durables pour les personnes déplacées internes.
» ce sont les autorités qui ferment les sites. Les humanitaires sont là pour accompagner les autorités, parce que les autorités peuvent ne pas avoir toutes les capacités. C’est pour cela que les humanitaires viennent en soutien aux efforts du gouvernement. Depuis qu’on mène les solutions durables dans le Tanganyika, c’est la première fois qu’on met en œuvre les trois solutions durables de manière simultanée » que sont le retour volontaire, la relocalisation et l’intégration locale.
Le résultat de cette opération est un concours des agences impliquées, souligne pour sa part, Monsieur Ephraïm EBWE, Chef de bureau PNUD Kalemie
» ensemble AVEC HCR_ OIM et le PNUD, nous avons facilité l’étude multisectorielle. Si aujourd’hui le Gouverneur de province vient lancer le processus à ce niveau, ce n’est que sentiment de satisfaction pour le PNUD «
A travers cette action humanitaire, du consortium OIM et PNUD, sous le lead du HCR, le gouvernement provincial du Tanganyika s’engage dans la ligne droite de mettre définitivement un terme aux sites des déplacées internes dans la province.
Le gouverneur Christian KITUNGWA, qui a personnellement présidé cette cérémonie en compagnie des autorités traditionnelles, a promis de garantir la sécurité de ses compatriotes et de leurs biens dans leurs milieux de retour
» je remercie tous nos partenaires financiers ici présents_OIM_PNUD et HCR. Je les remercie sincèrement d’avoir pris soin de vous nos compatriotes. Parmi vous il y a ceux qui cultivaient des champs, certains développaient leurs business et tout cela s’est englouti à cause de l’insécurité. La restauration de la sécurité relève de la responsabilité des dirigeants que nous sommes «
Il faut signaler qu’à l’instar d’autres sites déjà fermés depuis 2020 sur l’ensemble de la province du Tanganyika, le site Kikumbe, situé dans le territoire de Kalemie, été installé en 2017 lors du conflit Twa-Bantous.
La Rédaction de la Radio Ndenga News
Lors de son récent passage à Kamanyola, le gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi, a réaffirmé son engagement à promouvoir le développement de cette région. Il a instruit son ministre de l’Intérieur de suivre de près la mise en œuvre du décret-loi érigeant […]
A LA UNELors de son récent passage à Kamanyola, le gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi, a réaffirmé son engagement à promouvoir le développement de cette région. Il a instruit son ministre de l’Intérieur de suivre de près la mise en œuvre du décret-loi érigeant Kamanyola en commune rurale.
Cette décision fait suite aux nombreuses revendications des habitants de Kamanyola, qui aspirent à voir leur localité obtenir le statut de commune rurale. Selon eux, cette reconnaissance permettrait de mieux gérer les ressources locales et de favoriser le développement économique et social de la région.
Le gouverneur Purusi a souligné l’importance de cette démarche pour répondre aux attentes de la population et améliorer leurs conditions de vie. Il a également promis de travailler en étroite collaboration avec les autorités nationales pour accélérer le processus de mise en œuvre du décret.
Les habitants de Kamanyola, soutenus par diverses organisations de la société civile, ont exprimé leur satisfaction face à cet engagement du gouverneur. Ils espèrent que cette initiative aboutira rapidement et permettra à Kamanyola de bénéficier des avantages liés à son nouveau statut.
Le gouverneur a réaffirmé son engagement à résoudre les problématiques de tracasseries fiscales qui affectent les habitants et les commerçants de Kamanyola. Certains services, notamment la CONASAP, l’urbanisme et l’habitat, sont pointés du doigt. Il a également promis de suivre de près la mise en œuvre du décret-loi érigeant Kamanyola en commune rurale.
Les habitants de Kamanyola ont accueilli favorablement les promesses du gouverneur : «Nous espérons que ces engagements se traduiront rapidement en actions concrètes. La lutte contre les tracasseries fiscales et la mise en œuvre du décret-loi sont essentielles pour notre développement», a commenté le président de la nouvelle société congolaise, Birindwa Bisimwa.
Le gouverneur Purusi a conclu sa visite en réaffirmant son dévouement à travailler en étroite collaboration avec les autorités locales et les habitants pour assurer un avenir prospère à Kamanyola. « Nous devons tous unir nos efforts pour bâtir un Congo dynamique et prospère. » Pour terminer son séjour à Kamanyola, le gouverneur s’est rendu à la frontière de Kamanyola pour s’imprégner de la situation et comprendre les fonctionnalités de cette frontière, longtemps considérée par la population de Kamanyola comme une vache à lait pour certains
Par Hassan Shabani Ndenga News