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Une situation qui divise l’opinion publique sur la gestion des autorités militaires pour héraldique l’insécurité qui se vit de plus en plus à GOMA et BENI pour ne cité que cela, depuis l’avènement de l’état de siège dans les provinces de l’Est.
La société civile constate que la ville de Goma et celle de Beni sont sur-militarisées avec une présence excessive des hommes en arme dans plusieurs coins, notamment les militaires de la FARDC, les forces de la SADC, les mercenaires instructeurs m, les mouvements révolutionnaires comme les jeunes Wazalendo et autres,

Cette présence titanesque des agents de sécurité devrait procurer la stabilité de la paix dans la région, mais c’est le contraire qui est constaté déplore la société civile, de voir ces villes plongées dans une situation sécuritaire précaire.
Le mois de Mars et Avril, la ville de Goma et Béni ont enregistré plusieurs cas de tueries, kidnapping par des hommes en arme non autrement identifiés et cela en présence de toute l’arsenal de l’armée dans la région s’inquiéte la société civile du nord kivu.

Ciblé de plusieurs critiques, le Gouverneur militaire du Nord Kivu a pour stopper l’hémorragie, instauré une mesure interdisant toute circulation de civiles avec des armes blanches et armes à feu dans la ville, cette mesure visait particulièrement les jeunes activistes dénommés les WAZALENDO,
La mesure a été saluée par la société civile, espérant que celle-ci contribue à la réduction de l’insécurité dans la ville. du côté du grand Nord à BENI, les rebelles Ougandais des ADF imposent encore la loi, avec une série des massacres caractérisées par des violences sous toutes ses formes, des pillages systématiques, des incendies des biens de la population et même des cas d’enlèvements des civils vers des endroits inconnus.

Une situation qui amène la société civile, de remettre en question le rôle et l’impact de la l’état de siège à Béni et à Goma sur l’insécurité.

Par Désiré Muhiya Jarnac / Ndenga News.

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