Du 19 au 21 septembre, la ville de Kalemie accueille une retraite stratégique cruciale dédiée à la relance de la vaccination dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika. cette retraite de plaidoyer destinée aux autorités politico-administratives, visant à relancer les activités dans les provinces […]
A LA UNELe verdict est tombé à 21h30′ heures de Kisangani. Après cinq séances d’audience foraine en procédure de flagrance à la place de martyres à Kisangani sur le dossier de meurtre de 4 personnes tuées par machette au PK 10 simi simi route Yangambi, dans la […]
A LA UNEL’atelier d’appropriation du Nexus par les autorités au Tanganyika a connu la participation du Gouverneur de la province, les 10 ministres provinciaux, les chefs de division provinciale, les membres de la société civile, les représentants des organisations nationales et internationales et les Représentants des Agences, […]
Il y a eu célébration ce dimanche 18 août 2024 de la messe de béatification des martyrs témoins de la fraternité, à l’esplanade de la cathédrale Saint Paul dans la ville d’uvira , province du Sud Kivu, en République Démocratique du Congo. Présidé par le […]
A LA UNEIl y a eu célébration ce dimanche 18 août 2024 de la messe de béatification des martyrs témoins de la fraternité, à l’esplanade de la cathédrale Saint Paul dans la ville d’uvira , province du Sud Kivu, en République Démocratique du Congo.
Présidé par le cardinal Fridolin Ambongo, cet événement de grande portée a connu la participation des fidèles catholiques d’Uvira et ceux venus d’ailleurs, également l’ex Premier ministre Matata Ponyo Mapon, le gouverneur de province Jean-Jacques Purusi Sadiki et une délégation des ministres et députés provinciaux du Sud-Kivu.
Tout est parti de la lecture de la lettre de Saint Père lu en latin par le cardinal Fridolin Ambongo. S’en est suivi d’une rite qui reconnaît ces martyrs vénérables serviteurs de Dieu de bienheureux.
Il s’agit notamment de prêtres Luigi Carrara, Giovanni Didone, Vittorio Faccin, tous xaveriens et Albert Joubert, prêtre diocésain. Ces martyrs ont été tués à Baraka-Fizi le 28 novembre 1964.
Le cardinal n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude au pape qui lui a mandaté d’accomplir ce rite à son nom. Il a fait savoir que la béatification de ces martyrs signifie que l’église catholique peut désormais recourir à leur intercession.
Tué à l’âge de la fleur, ces 4 martyrs sont béatifiés 60 ans après leur mort. Dans un témoignage, ces martyrs ont servi Dieu et la population avec dévouement.
Signalons qu’après la messe, le cercueil contenant les reliques de ces martyrs temoins de la fraternité a été conduit à la paroisse de Kavimvira.
Par Françoise Bukuru/Ndenga News Uvira
À l’occasion de la formation organisée par l’association des femmes des médias (AFEM) à Uvira dans la province du Sud-Kivu, 9 personnes membres des trois organisations partenaires à Search for Common Ground ont été outillé durant quatre jours, soit du mardi au vendredi 16 août […]
A LA UNEÀ l’occasion de la formation organisée par l’association des femmes des médias (AFEM) à Uvira dans la province du Sud-Kivu, 9 personnes membres des trois organisations partenaires à Search for Common Ground ont été outillé durant quatre jours, soit du mardi au vendredi 16 août 2024, sur la mobilisation de fonds, la sensibilisation de donateurs et le plaidoyer.
L’activité y relative s’est tenue dans la salle des réunions du centre des ressources des jeunes de Kasenga, d’où la formation a connue la facilitation de madame Sourire Muhugirwa de AFEM.
Selon elle, la formation a visé à renforcer les capacités des participants afin qu’ils puissent mieux mobiliser les ressources nécessaires pour mener à bon port leurs projets de changement communautaire.
Rendu possible grâce à l’appui financier de Search for Common Ground, trois membres de l’Union des femmes des médias pour la paix au sud du Sud-Kivu (UFMP), ont également rehaussé de leur présence à cette formation.
Par Françoise Bukuru/Ndenga News Uvira
Le gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi Sadiki a présenté ses actions ce samedi 17 août 2024 à Uvira, reposées sur les six piliers du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, avant d’exposer son bilan depuis qu’il est à la tête de […]
A LA UNELe gouverneur de la province du Sud-Kivu, Jean-Jacques Purusi Sadiki a présenté ses actions ce samedi 17 août 2024 à Uvira, reposées sur les six piliers du président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, avant d’exposer son bilan depuis qu’il est à la tête de la province. Dans 45 jours seulement, le surnommé Magufuli a instauré un système de lutte contre les anti valeurs et de mobilisation des fonds pour booster le développement du Sud-Kivu.
Ce système, dit-il, lui a permis de mobiliser 1.300.000 dollars américains, grâce à la suspension des chaînes de valeurs pour les agents fictifs dans la province, et de plus de 550 sociétés minières qui exploitaient les minerais illégalement, avec la complicité des certains individus et la dotation de 357 mille dollars américains par le président de la République, etc
Ce montant va permettre le bon fonctionnement de la province, notamment payer les députés et agents honnêtes, rétrocéder les entités territoriales décentralisées soit 8 territoires plus la ville de Bukavu et autres, a précisé le gouverneur de province Jean-Jacques Purusi Sadiki.
Ce bilan a été jugé positif par les habitants d’Uvira : «nous sommes prêts à accompagner notre Magufuli Jean-Jacques Purusi dans sa mission, afin de redorer l’image de la province et particulièrement la partie su Sud-Kivu».
Aussitôt arrivé à Uvira, le chef de l’exécutif provincial a été accueilli au rond point Kavimvira par le maire de la ville, Kiza Muhato, entouré des membres du comité local de sécurité , des cadres, des sympathisants de l’UDPS et ceux des partis politiques membres de l’Union sacrée et une foule compacte.
Après avoir reçu les honneurs dignes de son rang, le gouverneur de province s’est dirigé sur l’avenue Kalehe à Mulongwe où le décor était planté pour communier avec la population.
Rappelons que dans la délégation, l’on a noté la présence du Vice-gouverneur Jean-Jacques Elakano, du président de l’Assemblée provinciale et certains ministres et députés provinciaux.
Par Françoise Bukuru Mwimule/Ndenga News Uvira
En prélude de la célébration de la journée mondiale de l’aide humanitaire, célébrée le 19 août de chaque année,à Kalemie, plusieurs organisations humanitaires et agences des Nations-Unies, sous le lead du sous-bureau de Coordination des Affaires humanitaires des Nations-Unies (OCHA), ont exposé devant les participants, […]
A LA UNEEn prélude de la célébration de la journée mondiale de l’aide humanitaire, célébrée le 19 août de chaque année,
à Kalemie, plusieurs organisations humanitaires et agences des Nations-Unies, sous le lead du sous-bureau de Coordination des Affaires humanitaires des Nations-Unies (OCHA), ont exposé devant les participants, leurs différentes réalisations dans les clusters prévus pour l’occasion.
Selon Madame Jolie BALIVOTO, cheffe de sous-bureau OCHA-KALEMIE, malgré toutes ces réalisations, le travail humanitaire reste méconnaissable du grand public
´´ cette rencontre, est une occasion de montrer ce que nous faisons; quels sont nos défis, quelles sont nos contraintes, et aussi de montrer comment les humanitaires peuvent collaborer avec les autorités et la communauté, pour qu’enseble nous puissions être à côté de ceux qui sont dans le besoin´´
Conformément aux objectifs associés au thème de cette année, celui-ci d’´´agir pour l’humanité ´´, Jolie BALIVOTO, indique qu’il impérieux d’interpeller les groupes armés, les autorités et la communauté, chacun en ce qui le concerne à ne pas normaliser les incidents perpétrés contre les acteurs humanitaires dans le Tanganyika.
Selon les rapports des experts sectoriels associés à ces échanges, la situation humanitaire dans la province du Tanganyika est caractérisée par des exactions de toute nature perpétrées par des groupes armés non identifiés, notamment dans le territoire de Nyunzu, où les activités humanitaires ont été suspendues dans certaines zones d’intervention pendant des jours. Pour limiter l’impacte de ces incidents
´´… il faut organiser ce genre de rencontre pour discuter, expliquer le rôle ou le mandat d’un acteur humanitaire; quels sont nos principes humanitaires, pourquoi nous intervenons et si nous n’intervenons pas quelles seraient les conséquences dans certains secteurs. Voilà même l’importance d’organiser cette réunion avec tous ces groupes de pression pour leur expliquer comment est organisée l’action humanitaire dans la province du Tanganyika ´´_insiste, madame BALIVOTO
Dans son exposé sur le cluster sécurité alimentaire, Madame Pauline KOMBA a mis en lumière les défis auxquels sont confrontés les acteurs humanitaires dans le cadre de leur assistance aux populations en besoin
´´… l’ensemble du monde humanitaire dans la province du Tanganyika se trouve souvent confronté aux difficultés d’accès aux populations, en raison de leur enclavement, lié au mauvais état des routes et autres obstacles… ´´
Pour améliorer l’action humanitaire au Tanganyika, la cheffe de sous-bureau OCHA_Kalemie, pense qu’il faut l’implication de toute la communauté, y compris les acteurs humanitaires-eux-mêmes ainsi que les autorités du pays pour avoir de résultats visibles et palpables sur le terrain. Celle-ci plaide, enfin, pour une mobilisation de tous les acteurs impliqués à tous les niveau, afin que la province du Tanganyika retrouve son élan de développement.
Il faut signaler, que depuis 2008, l’humanité célèbre chaque année, la journée du 19 août, consacrée à l’aide humanitaire; dans le but d’honorer la mémoire des acteurs humanitaires, qui chaque jour, sont aux chevets des personnes dans le besoin.
Par La Rédaction de la radio Ndenga News
Le ministre de la santé docteur Roger Kamba a, dans un briefing de presse co-animé avec son collègue de la Communication et médias, Patrick Muyaya Katembwe, signalé 10 cas du virus MonkeyPox dans la capitale de la République Démocratique du Congo. L’occasion faisant le larron, […]
A LA UNELe ministre de la santé docteur Roger Kamba a, dans un briefing de presse co-animé avec son collègue de la Communication et médias, Patrick Muyaya Katembwe, signalé 10 cas du virus MonkeyPox dans la capitale de la République Démocratique du Congo.
L’occasion faisant le larron, le patron de la santé publique, Hygiène et Prévention exhorte la population congolaise à observer quelques mesures d’hygiène pour éviter la propagation de ce virus. Le gouvernement de la RDC veut s’appuyer sur la sensibilisation de la population, la prévention et le traitement pour vaincre l’épidémie de Monkeypox (Mpox), a-t-il fait savoir.
Selon Roger Kamba, la clé pour vaincre la variole de singe en République démocratique du Congo réside dans l’implication de tous.
«Pour faire face à cette crise, le gouvernement de la République a mis en place une riposte structurée autour de trois axes principaux : le premier concerne la sensibilisation et la mobilisation communautaire pour prévenir les contaminations et limiter la propagation du virus. Pour cet axe, le ministère a mis en œuvre les dispositifs de surveillance épidémiologique et de communication sur les risques et de mobilisation communautaire. Deuxième axe concerne la prévention sanitaire. Il s’agira d’élaborer et valider un plan national stratégique de vaccination contre le monkeypox en RDC.
Le troisième axe vise à identifier et traiter les cas de Mpox», a confirmé docteur Roger Kamba.
Outre ça, il rapporte que le gouvernement a ainsi déployé des kits et les personnes pour une prise en charge gratuite et la réponse à cette épidémie doit être coordonnée pour améliorer le suivi des contacts.
Quant aux symptômes liés à cette maladie, il cite la fièvre, les maux de tête, les douleurs musculaires, les éruptions cutanées…
Le pays a enregistré 15.664 cas potentiels et 548 décès depuis le début de l’année. Quasiment toutes les provinces de la RDC sont touchées par ce virus. Mais selon Roger Kamba, les provinces les plus affectées sont l’Equateur, le Sud-Kivu, la Tshopo, la Tshuapa, le Sud-Ubangi, le Sankuru et la Mongala.
Signalons qu’au regard de la propagation rapide de la souche « clade 1b » de Mpox en RDC et dans les pays voisins, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) déclenche son plus haut niveau d’alerte mondiale.
Par Guillaume Ngoyi Amisi/Ndenga News Kinshasa.
À deux semaines de la rentrée scolaire sur toute l’étendue de la RDC, certains parents n’ont pas encore la certitude sur la possibilité de payer les fournitures scolaires des leurs enfants. S’exprimant à la radio Ndenga News, ces parents indiquent que leurs enfants risquent de […]
A LA UNEÀ deux semaines de la rentrée scolaire sur toute l’étendue de la RDC, certains parents n’ont pas encore la certitude sur la possibilité de payer les fournitures scolaires des leurs enfants.
S’exprimant à la radio Ndenga News, ces parents indiquent que leurs enfants risquent de ne pas rentrer à l’école faute des moyens. Ils ont évoqués l’instabilité de dollar sur le marché, mais également les mauvaises conditions de vie auxquelles ils passent actuellement.
De l’autre côté, un vendeur des fournitures scolaires rencontré au marché communément appelé chez baba chingazi sur l’avenue Maniema dans la commune d’Ibanda, regrette de constater l’absence d’engouement de parents qui viennent acheter les fournitures scolaires comme c’était le cas pour les années précédentes.
Il demande à l’Etat congolais d’améliorer les conditions de vie des ses citoyens et de doter d’un salaire significatif à ses fonctionnaires.
Notez que la rentrée scolaire est prévue le premier septembre prochain pour l’édition 2024-2025 sur toute l’étendue de la république démocratique du Congo, sauf dans des zones à conflit.
Par Jocelyne Bahiga/Ndenga News Bukavu
La pénurie d’eau à Kamanyola, dans le territoire de Walungu, province du Sud-Kivu, est un problème croissant. La sécheresse persistante a considérablement réduit la capacité de captage d’eau, entraînant des perturbations dans la distribution d’eau potable. Les villages les plus touchés incluent Rubumba, Migina et […]
A LA UNELa pénurie d’eau à Kamanyola, dans le territoire de Walungu, province du Sud-Kivu, est un problème croissant. La sécheresse persistante a considérablement réduit la capacité de captage d’eau, entraînant des perturbations dans la distribution d’eau potable. Les villages les plus touchés incluent Rubumba, Migina et une grande partie de Busama .
Les installations vétustes et la croissance démographique exacerbent la situation. Les réservoirs actuels ne suffisent plus à répondre aux besoins de la population croissante. Les habitants doivent souvent se lever tôt pour chercher de l’eau, ce qui entraîne des accidents et des difficultés, surtout pour les enfants.
Les autorités locales et les associations appellent à l’installation de nouveaux réservoirs pour améliorer l’accès à l’eau potable et répondre aux besoins de la population.
Malgré le sacrifice de l’équipe de gestion de l’Association des consommateurs d’eau potable de Kamanyola, leur courage n’arrive pas à répondre aux besoins. Ce comité semble être débordé. La flambée démographique serait une autre cause de la pénurie d’eau à Kamanyola. Les experts sanitaires alertent sur les cas de choléra et d’autres maladies hydriques.
Rappelons que Kamanyola est un groupement de la chefferie de Ngweshe au Sud-Kivu, peuplé de plus de 100 000 personnes, menacé par la variole du singe (monkeypox).
Par Hassan Shabani/ Ndenga News Kamanyola.
Ce samedi 10 aout 2024, la salle FEC de la ville de Kananga a vibré au rythme des échanges intellectuels et artistiques lors du vernissage tant attendu du livre « Reconstruire la féminité et la masculinité » du professeur François Tshionyi Kazadi, de l’université Notre Dame du […]
A LA UNECe samedi 10 aout 2024, la salle FEC de la ville de Kananga a vibré au rythme des échanges intellectuels et artistiques lors du vernissage tant attendu du livre « Reconstruire la féminité et la masculinité » du professeur François Tshionyi Kazadi, de l’université Notre Dame du Kasayi.
Cet événement marquant a rassemblé un large public, composé d’autorités provinciales, de professionnels des médias, d’écrivains, et de passionnés de la culture.
Dans son livre, le professeur Tshionyi Kazadi explore les constructions socio-culturelles de la féminité et de la masculinité dans le monde. À une époque où les orientations du genre sont à remettre en question, son œuvre se veut une réflexion profonde sur l’identité sexuelle binaire, masculine et féminine, selon le dessein du Créateur.
L’auteur voudrait voir ses lecteurs retourner au plan originel de Dieu. Cela permet de rejeter les propositions des anthropologies ambiguës. Il affirme que l’homme et la femme sont égaux en humanité et sont appelés à la complémentarité et la réciprocité.
C’est une option pour le respect de la vocation spécifique de chacun. C’est une voie vers une humanité réconciliée, contrairement au spectacle actuel qui présente la relation homme-femme comme une lutte des classes.
Au-delà de l’analyse critique, l’auteur propose des pistes de réflexion pour une reconstruction (restauration) de la féminité et la masculinité, plaidant pour une meilleure compréhension et un respect mutuel entre les sexes.
Les tendances actuelles vers l’effacement de la différence sexuelle et l’affirmation d’une diversité d’identités est une déconstruction de l’humanité. L’auteur insiste sur l’idée d’une anthropologie uni-duelle, homme-femme.
Un vernissage placé sous le signe du dialogue
La cérémonie a débuté par une prière et l’hymne national, suivie de l’allocution de délégué du professeur François Tshionyi, qui a partagé ses motivations derrière l’écriture de ce livre. Avec passion, il a mis en lumière les défis contemporains auxquels les femmes et les hommes font face et l’importance d’un dialogue inclusif pour promouvoir l’égalité.
Des lectures d’extraits du livre ont été effectuées, permettant à l’assistance de plonger dans les thèmes centraux abordés par l’auteur. La diversité des points de vue a enrichi la discussion, avec des intervenants qui ont partagé leurs propres expériences et réflexions sur le sujet.
Pendant ce temps, l’enthousiasme du public était palpable. Des échanges animés ont eu lieu au cours de la séance de questions-réponses, révélant un intérêt profond pour les thèmes abordés dans le livre. Les participants ont également souligné l’importance de ce type d’initiatives pour sensibiliser davantage aux questions de genre dans la société congolaise.
Le vernissage du livre « Reconstruire la féminité et la masculinité » a été une réussite, marquant un moment de partage et de réflexion collective. L’œuvre du professeur François Tshionyi Kazadi promet d’être une ressource précieuse pour tous ceux qui souhaitent approfondir leur compréhension des enjeux de genre.
En ouvrant le dialogue sur ces questions cruciales, cet événement a posé une première pierre vers une société plus égalitaire et respectueuse de toutes les identités.
Par Félix Mulumba Kalemba/Radio Ndenga News Kananga
L’organisation internationale pour les migrations, OIM en sigle, a clôturé ce samedi une séance d’information et sensibilisation sur la prévention des exploitations et abus sexuels. Au total 325 personnes ont été atteint par ce partage d’information avec comme cibles les parties prenantes aux activités de […]
A LA UNEL’organisation internationale pour les migrations, OIM en sigle, a clôturé ce samedi une séance d’information et sensibilisation sur la prévention des exploitations et abus sexuels.
Au total 325 personnes ont été atteint par ce partage d’information avec comme cibles les parties prenantes aux activités de l’OIM dont les agents des entreprises de mise en oeuvre, ainsi que les membres du comité local de sécurité (CLS) du territoire de Kongolo.
Filles et garcons entre 18 à 25 ans d’âge, hommes et femmes bénéficiaires directes et indirectes au projet dans ce territoire ont assidûment pris part à cette session de partage d’information qui vise à appliquer et vulgariser la diffusion de la politique de l’OIM sur la prevention de l’exploitation et abus sexuels.
( La protection des bénéficiaires que nous servons est d’une importance capitale. La protection et la lutte contre l’exploitation, abus et harcèlement sexuels PEAHS constitue un pilier fondamental dans la création d’un environnement exempt d’abus et harcèlement.
L’organisation internationale pour les Migrations OIM applique une politique de tolérance zéro à l’égard de tout acte d’abus et exploitation sexuels.), a fait savoir Madame Jeannette Samba point focale protection contre l’exploitation et abus sexuels chez à l’OIM Tanganyika, lors d’une interview accordée à la radio Ndenga News.
Par La rédaction de Ndenga News
La pénurie d’eau à Kamanyola, dans le territoire de Walungu, province du Sud-Kivu, est un problème croissant. La sécheresse persistante a considérablement réduit la capacité de captage d’eau, entraînant des perturbations dans la distribution d’eau potable. Les villages les plus touchés incluent Rubumba, Migina et […]
A LA UNELa pénurie d’eau à Kamanyola, dans le territoire de Walungu, province du Sud-Kivu, est un problème croissant. La sécheresse persistante a considérablement réduit la capacité de captage d’eau, entraînant des perturbations dans la distribution d’eau potable.
Les villages les plus touchés incluent Rubumba, Migina et une grande partie de Busama. Les installations vétustes et la croissance démographique exacerbent la situation.
Les réservoirs actuels ne suffisent plus à répondre aux besoins de la population croissante. Les habitants doivent souvent se lever tôt pour chercher de l’eau, ce qui entraîne des accidents et des difficultés, surtout pour les enfants.
Les autorités locales et les membres de la société appellent à l’installation de nouveaux réservoirs pour améliorer l’accès à l’eau potable et répondre aux besoins de la population.
Malgré le sacrifice de l’équipe de gestion de l’Association des consommateurs d’eau potable de Kamanyola, leur courage n’arrive pas à répondre aux besoins. Ce comité semble être débordé.
La flambée démographique serait une autre cause de la pénurie d’eau à Kamanyola. Les experts sanitaires alertent sur les cas de choléra et d’autres maladies hydriques.
Rappelons que Kamanyola est un groupement de la chefferie de Ngweshe au Sud-Kivu, peuplé de plus de 100 000 personnes, menacé par la variole du singe (monkeypox).
Par Hassan Shabani