« La presse au service de la planète : le journalisme face à la crise environnementale. » C’est sous ce thème que la 31 ème commémoration de la journée internationale de la liberté de presse est célébrée, Mathias Makolovera, Journaliste de la Rtnc et président […]
A LA UNEA l’occasion de la commémoration de la Journée de la liberté de la presse AMURI ALEKA, Promoteur de la Radio Ndenga News-Kalemie au Tanganyika en RDC s’exprime de vive voix dans cette interview réalisée par Prospère Tegene.« Restons optimistes par rapport à notre province du […]
A LA UNEUne situation qui divise l’opinion publique sur la gestion des autorités militaires pour héraldique l’insécurité qui se vit de plus en plus à GOMA et BENI pour ne cité que cela, depuis l’avènement de l’état de siège dans les provinces de l’Est.La société civile constate […]
A LA UNELe Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a reçu en audience, ce jeudi 14 mars 2024, le Caucus des députés nationaux du Haut-Uélé, à l’immeuble du Gouvernement. Au cœur de leurs échanges, la réhabilitation des ponts Kibali et Bomokandi ainsi que la célébration du soixantième anniversaire […]
« La presse au service de la planète : le journalisme face à la crise environnementale. » C’est sous ce thème que la 31 ème commémoration de la journée internationale de la liberté de presse est célébrée, Mathias Makolovera, Journaliste de la Rtnc et président […]
A LA UNE« La presse au service de la planète : le journalisme face à la crise environnementale. » C’est sous ce thème que la 31 ème commémoration de la journée internationale de la liberté de presse est célébrée,
Mathias Makolovera, Journaliste de la Rtnc et président provisoire de la corporation des journalistes du tanganyika, estime que: » les journalistes jouent un rôle crucial dans la diffusion d’informations sur les bouleversements environnementaux et les pertes qui touchent des milliards de personnes à travers le monde. Leur travail courageux et persévérant nous permet de mieux comprendre ce qui se passe réellement dans différentes régions du monde. Ils sont en première ligne de notre combat collectif pour la santé de notre planète et pour des vies habitables «
La journée internationale de la liberté de Presse n’est pas à considérer comme une fête, car le plus dur reste à faire dans le changement de mentalité des journalistes a argumenté Dénis Maheo, Journaliste correspondant de la rFi, avant d’ajouter que le manque de professionnalisme contribue à l’insécurité du journaliste
» le journaliste ne se fait pas ami de ceux qui décident, il reste neutre, objectif et flexible pour faire son travail et ne déplaise aux autres. Il réfléchit deux fois quand on lui propose une enveloppe en guise de séduction, même si l’auteur dit que c’est sans contrepartie, le journaliste reste prudent pour ne pas mettre en otage son stylo indépendant qui est son pouvoir et force, l’indépendance reste plus que jamais une valeur cardinale de La Presse «
a exhorté Denise Maheo
AMURI Aleka Aleksandra, promoteur et journaliste de la radio ndenga News, reste optimiste et partage son expérience :
» les médias indépendants, libres et pluralistes sont le pivot de la bonne gouvernance à l’échelle locale, nationale tout comme internationale. Mon expérience comme journaliste dans plusieurs médias nationaux et internationaux, j’ai pu remarquer que lorsque les médias sont libres, ils deviennent des garants de la transparence, de la responsabilisation et de l’État de droit. Ils favorisent la participation au débat public et politique et contribuent à lutter contre la pauvreté et les inégalités, le média doit être un partenaire à part entière dans le processus démocratique. »
a déclaré Amuri Aleka.
Par rapport à la question de savoir si les journalistes peuvent contribuer eux même à biaiser leur liberté à fin de se conformer aux orientations des décideurs, François Xavier Mibe, pensionné de la radio Okapi tranche :
» Tout le monde aime l’information, mais tout le monde n’aime pas le journaliste, le journaliste doit seulement donner l’information qui est le résultat d’un rapportage des faits vérifiables, en respectant l’auditeur, et les règles bien établie qui régissent le métier, non seulement il se protège lui même, mais il fait respecter le métier qui est noble, le journaliste évitera d’écrire avec l’objectif tendancieux ou pas pour plaire, mais il rapporte que les faits, car les faits sont sacrés «
a interpellé François Xavier Mibé.
Selon l’UNESCO, tous les quatre jours, un journaliste est tué dans le monde, entre 2006 et 2020, plus de 1 200 professionnels de la presse ont perdu la vie. Dans neuf cas sur dix, les meurtriers restent impunis.
En somme, la Journée mondiale de la liberté de la presse est l’occasion de célébrer les principes fondamentaux de la liberté de la presse, d’évaluer la liberté de la presse à travers le monde et de rendre hommage aux journalistes qui ont perdu leur vie dans l’exercice de leur profession .
Par Prospère Tegeme / Ndenga News
A l’occasion de la commémoration de la Journée de la liberté de la presse AMURI ALEKA, Promoteur de la Radio Ndenga News-Kalemie au Tanganyika en RDC s’exprime de vive voix dans cette interview réalisée par Prospère Tegene.« Restons optimistes par rapport à notre province du […]
A LA UNEA l’occasion de la commémoration de la Journée de la liberté de la presse AMURI ALEKA, Promoteur de la Radio Ndenga News-Kalemie au Tanganyika en RDC s’exprime de vive voix dans cette interview réalisée par Prospère Tegene.
« Restons optimistes par rapport à notre province du Tanganyika qui vient de connaitre les élections, nous avons de nouveaux dirigeants et notre rôle comme presse libre et indépendante sera de veiller au bon fonctionnement du gouvernement, d’avertir le public quand nos dirigeants ne tiennent pas les promesses faites pour être élus… » Amuri ALEKA Journaliste.
Interview
Prospère Tegeme (journaliste) : Monsieur Amuri ALEKA, le monde célèbre la journée internationale de la liberté de presse, vous basant sur votre expérience dans le domaine, pourquoi est-ce important aujourd’hui que la presse jouit d’une telle liberté ?
Amuri Aleka : Cher Monsieur Prospere, Je dirai que garantir la liberté de la presse en République Démocratique du Congo ou au monde est une priorité car des médias indépendants, libres et pluralistes sont le pivot de la bonne gouvernance à l’échelle locale, nationale tout comme internationale. Mon expérience comme journaliste dans plusieurs médias nationaux et internationaux, j’ai pu remarquer que lorsque les médias sont libres, ils deviennent de garants de la transparence, de la responsabilisation et l’État de droit. Ils favorisent la participation au débat public et politique et aussi ils contribuent à lutter contre la pauvreté et les inégalités. Comme promoteur de la Radio Ndenga News, je puis indiquer que notre media demeure indépendante car il tire son pouvoir de la communauté qu’il sert et confère en retour à cette même communauté le pouvoir d’être un partenaire à part entière dans le processus démocratique.
Prospère Tegeme : Dans la plupart des cas, la liberté est volontairement biaisée par les professionnels de la presse eux-mêmes, afin de se conformer aux orientations des décideurs, comment quitter la presse de propagande à la presse libérale ?
Amuri Aleka : Vous pouvez ou pas avoir raison par rapport à cette confirmation. Il s’agit malheureusement d’une particularité dommageable issue de la relation entre journalistes et les politiques car des liens personnels se tissent et des sympathies se forgent. Cet état de chose pousse malheureusement au manque de distanciation et cette dernière entraîne une forme de myopie ; au pis, à une connivence ; parfois une complicité de mauvais augure. Or la démocratie à travers la liberté de la presse exige que nous journalistes, puissions, grâce au contrat avec nos communautés, participer aux processus de décision et évaluer les performances de nos gouvernements via les politiques, mais nous observons toute autre chose comme par obligation, les politiques savent séduire et les journalistes ne sont pas insensibles à cette séduction, d’autant qu’Ils partagent la même culture, les mêmes codes, les mêmes références. Ils fréquentent les mêmes lieux et passant alors de l’autre côté du miroir… la commémoration de la journée de la liberté de la presse devient alors une occasion pour nous rappeler le contrat social avec nos communautés dans le processus démocratique
Prospère Tegeme : Les journalistes sont à féliciter pour leur travail salutaire, mais on se demande que deviendra une société sans une presse libre, indépendante ? pour parler des conséquences de la privation de la liberté de la presse !
Amuri Aleka :Cette toute notre inquiétude comme journaliste mais nous restons optimistes et réaffirmons le droit des journalistes à faire leur travail car si les idées et l’information ne circulent pas librement dans notre région, dans notre province ou dans notre pays, la paix en sera d’autant plus difficile à atteindre. Je m’inspire du Secrétaire général de l’ONU Monsieur Koffi Annan qui disait à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse en 2003 qu’une presse libre et indépendante fait des sociétés fortes, dynamiques, en marche vers le progrès. Comme nos sociétés ont opté pour le progrès donc elles ont opté pour développement et la démocratie via la liberté de la presse. C’est pour cette raison que j’ai dit que restons optimiste par rapport à notre province du Tanganyika qui vient de connaitre les élections, nous avons de nouveaux dirigeants et notre rôle comme presse libre et indépendante sera de veiller au bon fonctionnement du gouvernement, d’avertir le public quand nos dirigeants ne tiennent pas les promesses faites pour être élus.
Parlant des conséquences de la privation de la liberté de la presse, les médias classiques ne sont plus les seuls concernés. Il faut reconnaitre que la radio, la télévision et la presse écrite sont fortement concurrencés par les médias sociaux. Désormais, Facebook, Twitter, WhatsApp sont autant d’autoroutes où l’information circule. Mais si les médias sociaux confortent la liberté de la presse, ils ont aussi un potentiel de nuisance.
Merci beaucoup monsieur AMURI Aleka ALEXANDRE
Par Prospère Tegeme/Ndenga News
Une situation qui divise l’opinion publique sur la gestion des autorités militaires pour héraldique l’insécurité qui se vit de plus en plus à GOMA et BENI pour ne cité que cela, depuis l’avènement de l’état de siège dans les provinces de l’Est.La société civile constate […]
A LA UNEUne situation qui divise l’opinion publique sur la gestion des autorités militaires pour héraldique l’insécurité qui se vit de plus en plus à GOMA et BENI pour ne cité que cela, depuis l’avènement de l’état de siège dans les provinces de l’Est.
La société civile constate que la ville de Goma et celle de Beni sont sur-militarisées avec une présence excessive des hommes en arme dans plusieurs coins, notamment les militaires de la FARDC, les forces de la SADC, les mercenaires instructeurs m, les mouvements révolutionnaires comme les jeunes Wazalendo et autres,
Cette présence titanesque des agents de sécurité devrait procurer la stabilité de la paix dans la région, mais c’est le contraire qui est constaté déplore la société civile, de voir ces villes plongées dans une situation sécuritaire précaire.
Le mois de Mars et Avril, la ville de Goma et Béni ont enregistré plusieurs cas de tueries, kidnapping par des hommes en arme non autrement identifiés et cela en présence de toute l’arsenal de l’armée dans la région s’inquiéte la société civile du nord kivu.
Ciblé de plusieurs critiques, le Gouverneur militaire du Nord Kivu a pour stopper l’hémorragie, instauré une mesure interdisant toute circulation de civiles avec des armes blanches et armes à feu dans la ville, cette mesure visait particulièrement les jeunes activistes dénommés les WAZALENDO,
La mesure a été saluée par la société civile, espérant que celle-ci contribue à la réduction de l’insécurité dans la ville. du côté du grand Nord à BENI, les rebelles Ougandais des ADF imposent encore la loi, avec une série des massacres caractérisées par des violences sous toutes ses formes, des pillages systématiques, des incendies des biens de la population et même des cas d’enlèvements des civils vers des endroits inconnus.
Une situation qui amène la société civile, de remettre en question le rôle et l’impact de la l’état de siège à Béni et à Goma sur l’insécurité.
Par Désiré Muhiya Jarnac / Ndenga News.
C’est par le coordonnateur province a l’intérim du projet intégré de croissance agricole, que la province du tangayika a pris par à ces assises de deux jours, soit le 9 et 10 Avril 2024, organisées à Kinshasa, au début du mois d’avril par le ministère […]
A LA UNEC’est par le coordonnateur province a l’intérim du projet intégré de croissance agricole, que la province du tangayika a pris par à ces assises de deux jours, soit le 9 et 10 Avril 2024, organisées à Kinshasa, au début du mois d’avril par le ministère national de l’agriculture.
L’objectif étant d’evaluer l’état d’avancement des activités réalisées de deux projets régionaux, et ensuite élaboré le plan commun d’exécution des activités qui restent à faire pour les deux projets de la région des grand lacs.
De son retour à kalemie de sa mission, Monsieur Jean_paul Bahatibuha, coordonnateur provincial AI du PICAGL, a souligné qu’il etait important que ces deux pays partagent les connaissances dans la gestion et la réalisation des activités restantes.
» Ces deux projets sont appelés à mettre une plateforme d’échange de connaissances entre congolais et burundais pour bien former les bénéficiaires et partager les avantages de l’avancement des différentes technologies «
a déclaré le coordonnateur ai du projet intégré de croissance agricole dans les grands lacs (PICAGL) dans la province du Tanganyika.
Par la Rédaction Ndenga News.
Brève historique du conflit bantous-pygmés dans le Tanganyika La Province du Tanganyika a connu en 2017 une extension du conflit intercommunautaire entre les bantous-Twa dans la majorité de ses territoires excepté le territoire de Kongolo. Ces zones ont enregistré des violents affrontements et attaques entre […]
A LA UNEBrève historique du conflit bantous-pygmés dans le Tanganyika
La Province du Tanganyika a connu en 2017 une extension du conflit intercommunautaire entre les bantous-Twa dans la majorité de ses territoires excepté le territoire de Kongolo. Ces zones ont enregistré des violents affrontements et attaques entre les communautés Luba-Twa, occasionnant d’importants mouvements des populations dans plusieurs zones. À Kalemie, spécifiquement, cette crise a provoqué une prolifération des sites spontanés des déplacées fuyant les attaques et affrontement des milices. Suite aux efforts conjugués conjointement entre les autorités, la Monusco et les organisations humanitaires, plusieurs zones ont connu une accalmie, avec un élan des mouvements de retours, bien que, certaines zones au Nord de la Province soient continuellement exposées à l’insécurité.
En 2018, à la suite d’une décision du gouvernement Provinciale de procéder à la fermeture des sites des déplacées internes (PDI) autour de Kalemie, la Province est rentrée dans une dynamique de rechercher les solutions durables aux problèmes des déplacées internes.
C’est dans cette logique qu’entre mars 2020 et octobre 2022, 6 sites spontanés des PDIs et 2 centres collectifs ont été fermés dans le respect de la dignité et de la sécurité, touchant au total 31025 personnes et ce, à l’issue d’un plan conjoint élaboré par les autorités et la communauté humanitaire.
S’inscrivant dans la même dynamique, en septembre 2023, sur recommandation du Cluster CCCM, OIM a organisé une collecte d’intention sur 15 sites des PDIs de Kalemie et Nyunzu sur les 18 existants, afin de capter les intentions des PDIs aux options des solutions durables (Retour, relocalisation/réinstallation et intégration locale) et planifier, dans la mesure du possible, l’accompagnement au retour et la fermeture des sites.
Les résultats de la collecte d’intention par l’OIM en septembre 2023
À l’issue de cette collecte, il est ressorti que sur les 14797 personnes touchées par la collecte, 54.73% (8098) étaient favorable au retour ; 41.17% (6092) favorable à la relocalisation et l’intégration locale ; 4.08% (604) reste indécis et 0.02% (3) favorable au transfert dans un autre site. Ainsi, sur les 15 sites enquêtés, l’analyse des critères renseigne 10 sites en priorité 1.
Contexte de l’évaluation organisée par le UNHCR du 8 au 24 avril 2024 à Kalemie
Cette évaluation s’est inscrit dans la perspective de la mise en œuvre des solutions durables dans un contexte de fermeture des sites des déplacés. Elle a couvert 15 villages de Kalemie concernés par les retours, l’intégration locale et la relocalisation, conformément aux choix exprimés par les Personnes déplacées internes lors de la collecte d’intention réalisée par OIM.
L’évaluation a ciblé les communautés hôtes, les retournées, les personnes déplacées et les informateurs clés (Leaders communautaires, les infirmiers titulaire, les directeurs d’écoles, la société civile et les Comités des PDIs). Il sied de signaler que dans cette évaluation, une attention particulière a été accordée sur la participation des personnes à besoin spécifique. Il a également été question dans cette évaluation de s’assurer de la prise en compte des personnes à risques de discrimination tel que les personnes vivant avec Handicapées.
Objectifs de l’évaluation
Cette évaluation multisectorielle avait pour objectif d’identifier les besoins prioritaires et les problématiques d’accès à la terre dans ces différentes zones, en perspective de la fermeture des sites et de la mise en œuvre des solutions durables à Kalemie.
Plus spécifiquement, il s’agira :
Au total une moyenne de 50 ménages enquêtés, 3 informateurs clés et 1 focus groupe ont été interrogés à travers respectivement les enquêtes dans les ménages et les entretiens ciblés dans chaque village. ce qui donne environ plus de 900 Personnes évaluées dans tous les 15 villages notamment Kabulo, Mama kasanga, Tabac Congo, Mwaka, Likasi, Rugo, Eliyta, Mushaba, Kikumbe, Kosa, Kisalaba, yamba, Moni, Kabutonga et Fundi Swata.
Par la rédaction de NDENGA news
Lors de la cérémonie d’ouverture, le directeur de l’Institut Supérieur de Statistique (ISS) le professeur Parry Balloy Mwanza a souligné trois grandes missions comme objectif à atteindre pour l’année doctorale 2023-2024: » la première mission est de structurer le champ de la recherche en statistique […]
A LA UNELors de la cérémonie d’ouverture, le directeur de l’Institut Supérieur de Statistique (ISS) le professeur Parry Balloy Mwanza a souligné trois grandes missions comme objectif à atteindre pour l’année doctorale 2023-2024:
» la première mission est de structurer le champ de la recherche en statistique et en informatique en offrant un programme des séminaires de haut niveau destinés aux chercheurs. Ensuite la deuxième mission vise à doter ses étudiants de sources nouvelles et individualisées qui les aideront, en tant que chercheurs, à affronter les contraintes qui pourraient peser sur leur trajet. Enfin l’École Doctorale devra être le lieu d’une réflexion fondamentale individuelle et collective pour la quête des solutions à trouver aux problèmes qui gangrènent et rongent notre pays. » a précisé Parry Balloy Mwanza.
Pour aboutir à ces objectifs, le patron de l’Institut Supérieur de Statistique de Lubumbashi dit entretenir un bon climat avec d’autres institutions d’enseignement supérieur, et promets de mettre la barre haute sur la discipline et suivi des étudiants pour une ponctualité exemplaire:
» Notre école doctorale a identifié un axe important qui pourra rentabiliser ses efforts, il s’agit d’une collaboration avec des collègues issus d’académies différentes, l’école ne sera aucunement une voie de facilitation pour ceux qui ne voudront pas s’impliquer dans la voie de relever le défi. Ainsi, l’enseignement sera plus de type formation à la recherche » a-t-il indiqué.
Par ailleurs, Parry Balloy a réaffirmé qu’il y a lieu de donner un sens profond à cette formation doctorale si la détermination de ces pionniers de la connaissance ne sera affaiblie.
» En regardant la condition précaire de la vie sociale, Je sais mesurer la hauteur de l’engagement personnel et domestique que ceci implique, faire des études doctorales est une longue et coûteuse aventure, mais celà ne sera une embûche à votre destin que si vous refusez d’y croire. Je vais donc vous encourager sachant que ce trajet vous imposera de faire de grands sacrifices et d’importantes privations personnelles et familiales. Mais au bout du prix à payer, le sourire et la joie rempliront votre vie et vous feront oublier la peine investie » conclut-il.
Une bonne nouvelle pour les étudiants de cette institution, car l’institut Supérieur de Statistique (ISS) œuvre à Lubumbashi depuis plus de 57 ans sans un école doctorale.
Par Loss-adonis NGOYI / Ndenga News.
Le professeur ordinaire Kalala Ilunga Matthiesen était face à ses administrés le samedi 20 avril 2024 dans l’avant tout comme l’après midi. Ce nouveau locataire du décanat de la faculté de droit de l’université de Lubumbashi a fait le tour des salles en pleine passation […]
A LA UNELe professeur ordinaire Kalala Ilunga Matthiesen était face à ses administrés le samedi 20 avril 2024 dans l’avant tout comme l’après midi. Ce nouveau locataire du décanat de la faculté de droit de l’université de Lubumbashi a fait le tour des salles en pleine passation d’épreuves de la mi session. Les auditoires welo, chabu, ex kabeya, bingoto jusqu’à l’amphithéâtre professeur Tshitambwe Kazadi shambuyi Honoré ont été visités par ce spécialiste des droits humains, récemment nommé à la tête de cette institution productrice des magistrats, avocats et juristes au sein de cet alma mater.
Au cours de cette itinérance, un message clé était au centre de ce tête à tête entre ce gestionnaire et étudiants. Il s’est agit d’un réconfort moral aux étudiants qui affrontent les examens; qui se poursuivent normalement a t-on appris des sources concordantes. Soyez sages, attentifs, obeissants et respectueux des règles édictées par les autorités de l’université de Lubumbashi a insisté le doyen Matthiesen Kalala Ilunga. Vous devez être entreprenants, dynamiques et déterminés pour que vous obteniez des bonnes côtes au cours de cette session, une étape cruciale pour mieux passer des promotions.
Il a accordé la parole aux étudiants qui lui ont posé des questions sur la marche de la faculté, ses difficultés et ses perspectives d’avenir; dans une ambiance bon enfant. Il a conclu son propos en demandant aux étudiants d’être ponctuels, en respectant les surveillants qui sont des agents institutionnels dotés d’une mission de supervision.
Il faut signaler que le professeur ordinaire Kalala Ilunga Matthiesen se faisait accompagner du professeur Jean Marc Pacifique Mutonwa Kalombe vice doyen en charge de la recherche, du chef des travaux Aimé Muyumba Fundi secrétaire académique de la faculté et d’une vingtaine d’assistants et chefs des travaux de cette faculté chère au professeur ordinaire Kishiba Fitula Gilbert recteur de l’université de Lubumbashi.
Par Béni RASHIDI / RADIO PHOENIX UNIVERSITÉ.
Cette infrastructure imposante qui attire la curiosité de tout passant y compris du personnel de cette institution d’enseignement supérieur, est une marque de fabrique unique en son genre. Elle est construite dans l’enceinte de la direction générale de l’institut supérieur des statistiques de Lubumbashi, qui […]
A LA UNECette infrastructure imposante qui attire la curiosité de tout passant y compris du personnel de cette institution d’enseignement supérieur, est une marque de fabrique unique en son genre. Elle est construite dans l’enceinte de la direction générale de l’institut supérieur des statistiques de Lubumbashi, qui est située sur l’avenue Lumumba.
Elle est dotée d’une diversité des matériels informatiques dernier cri, couplée à une énergie renouvelable type solaire, qui fournit le courant électrique temps réels. Son jeu de lumière ultraviolet, est une savante conception très originale, de part son emplacement, son confort, sa technologie de pointe et ses particularités. Juste à l’entrée de cette salle, on peut apercevoir à distance, des kits informatifs complets et leurs accessoires et une climatisation excellemment bien installés. Du plafond en passant par les meubles jusqu’à la peinture raffinée à incorporation sonore, tout est magnifiquement agencé, créant ainsi la surprise et l’étonnement par la beauté de ce cadre qui fascine.
Juste après la cérémonie de lancement officiel de l’école doctorale à l’institut supérieur des statistiques qui a eu le 18 avril 2024, la cinquantaine des personnalités invitées, s’est émerveillée par ce bijou exceptionnel qui inspire confiance et rassure tous les apprenants du serieux de la chose, s’est réjoui un membre d’un comité du gestion invité.
Les hôtes du professeur Perry Balloy Mwanza directeur général de l’ISS de Lubumbashi, qui ont pris connaissance de ce lieu pour la première fois, ont vivement félicité cette equipe des inamovibles de l’ISS de Lubumbashi pour cette politique volontariste, focalisée exclusivement sur la construction des auditoires et autres bâtisses.
De grand bâtisseur en passant par des concepts comme visionnaire et autres qualificatifs, le directeur général de l’institut supérieur des statistiques le professeur Perry Balloy Mwanza a reçu des félicitations, des encouragements de ses pairs, d’une association des statisticiens au niveau national, y compris de la quarantaine des doctorants, qui lui ont apporté soutien, accompagnement, assurance, sans parler de cette salve d’applaudissements nourris.
Il faut signaler que c’est cette salle qui porte le nom d’un ancien directeur général de cette institution publique de l’ESU, qui accueillera chaque soir de 16h à 19h, les enseignants du troisième cycle dans le cadre de ce master complémentaire en informatique ainsi qu’en statistique, appuyé par une série des cours transversaux pour une formation de qualité a indiqué le directeur général dans son discours.
Par Béni RASHIDI
Il s’agit du rapport et son complément de l’exercice 2020 – 2021 sur l’exploitation minière artisanale et à Petite échelle dans les chaînes de valeur cuivre, cobalt dans la province du tanganyika, couplée par le rapport EMAPE 3T et or. Lancé ce jeudi 18 Avril […]
A LA UNEIl s’agit du rapport et son complément de l’exercice 2020 – 2021 sur l’exploitation minière artisanale et à Petite échelle dans les chaînes de valeur cuivre, cobalt dans la province du tanganyika, couplée par le rapport EMAPE 3T et or.
Lancé ce jeudi 18 Avril par le ministre provincial du budget et plan, monsieur Dieudonné Masol, qui dans son mot de circonstance est revenu sur l’objectif visé par cet atelier de trois jours, soit du 18 au 20 avril 2024.
Selon Dieudonné Masol, ministre provincial de budget et plan, cet atelier intervient spécifiquement pour permettre une bonne transparence des données dans le secteur minier : » Dans notre secteur, il est important d’avoir une bonne transparence et facilité la redevabilité à travers l’utilisation des données publiées pour lutter contre la corruption ainsi que promouvoir le développement durable en République démocratique du Congo et dans la province du Tanganyika. » A indiqué Dieudonné Masol
À lui d’ajouter que cet atelier va également permettre un bon dialogue entre les groupes multipartite et la communauté directement impactée par l’exploitation minière.
Ces enseignements sont dispensés aux représentants et membres des régies financières, minières, les chefs de division et la représentation de la société civile de la province du Tanganyika.
Par la Rédaction de Ndenga News.
Le Projet intégré de croissance agricole dans les Grands lacs PICAGL, programme du Gouvernement Congolais va procéder à la vaccination contre le charbon symptomatique chez les bovins et la peste des petits ruminants chez les ovins et caprins, Cette précision est du Docteur IFASSO EKOFO […]
A LA UNELe Projet intégré de croissance agricole dans les Grands lacs PICAGL, programme du Gouvernement Congolais va procéder à la vaccination contre le charbon symptomatique chez les bovins et la peste des petits ruminants chez les ovins et caprins, Cette précision est du Docteur IFASSO EKOFO Claude, Chef de division Contrôle sanitaire et hygiène animale à la Direction des services vétérinaires, au Ministère de la pêche et élevage, au sortir d’une audience lui accordée par le Gouverneur intérimaire Marc Malango Kashekere ce mercredi.
Le lancement officiel de cette campagne de vaccination intervient ce jeudi 18 avril. Après une formation tenue au mois de mai de l’année dernière aux profits des vaccinateurs locaux, une journée de mise à niveau sera organisée le lendemain avant le démarrage proprement dit le samedi 20 avril 2024.
Accompagné du Coordonateur provincial du PICAGL Jean Damas Bulubulu , le délégué du Gouvernement Central a indiqué que cette campagne concerne les Territoires de Fizi, Kalehe, Kabare, Walungu et Uvira. Elle se déroulera de porte à porte pendant 15 jours pour la peste des petits ruminants comme les chèvres et moutons alors que la vaccination contre le charbon symptomatique chez les bovins notamment les vaches se fera dans les couloirs de contention aménagés à cet effet.
Monsieur Jean Damas Bulubulu estime que cette initiative de la composante Santé animale du programme du PICAGL permettra de lutter contre certaines pathologies qui déciment les bétails et par ricochet, diminuer sensiblement le taux de mortalité des bêtes et surtout accroître l’économie des ménages qui dépendent de l’élevage, A-t-il fait savoir.
Le Gouverneur intérimaire Marc Malango Kashekere a encouragé ses invités pour l’évolution du dudit programme dans la Province du Sud-Kivu qui soutient l’autosuffisance alimentaire et l’amélioration des conditions de vie socio-économiques des ménages, s’est félicité le Docteur Ifasso Ekofo Claude .
À ce stade, tous les vaccins sont déjà dans la Province du Sud-Kivu, entreposés et conservés depuis un mois dans la chambre froide du Programme élargi de vaccination, Pev.
Par la Rédaction Ndenga News.