Uvira, le 31 Mai 2025 – La Ministre nationale des Droits Humains, Chantal Chambu, apporte une aide essentielle en vivres et non-vivres aux sinistrés des inondations et aux déplacés de guerre au Sud-Kivu.

C’est Jean-Jacques PURUSI SADIKI Gouverneur de la province du Sud-Kivu, et Monsieur Bora, Directeur de Cabinet adjoint de la Ministre des Droits Humains qui ont procédé ce vendredi 30 mai à la distribution symbolique de cette assistance sur les sites d’hébergement de Kilomoni et Kasenga. La distribution effective auprès des bénéficiaires interviendra ce lundi prochain .

L’événement s’est déroulé en présence de plusieurs personnalités, dont la Maire intérimaire de la ville d’Uvira, KIFARA KAPENDA KIK’Y , des membres de la société civile, des bénéficiaires eux-mêmes et une foule nombreuse venue pour l’occasion.

Cette aide d’urgence est composée de denrées de première nécessité telles que du riz, des haricots, du savon et du sel.

Sur les sites de Kilomoni et de Kasenga,Bora KAMWANYA , représentant personnel de la Ministre, a dressé un message de compassion et de soutien aux sinistrés et aux déplacés. Il a souligné que cette assistance, bien que ne relevant pas directement de la mission première du ministère, est un symbole fort de l’amour et de la solidarité que la Ministre porte à ses concitoyens touchés par les catastrophes naturelles et les conflits armés. Le directeur de cabinet adjoint de la ministre nationale des droits humains a également salué la vision humaniste du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi, et son engagement constant envers la population congolaise. Il a promis que les doléances des victimes seront transmises à la hiérarchie pour des solutions idoines.

Prenant la parole à son tour, le Gouverneur de province, le Professeur Jean-Jacques Purusi, a précisé que cette aide est le fruit de ses plaidoyers récents menés à Kinshasa. Il a par ailleurs annoncé l’arrivée prochaine à Uvira de la Ministre des Affaires Sociales, qui viendra également en aide aux déplacés et aux sinistrés, dans le but de soulager leurs conditions de vie précaires.

Par Françoise Bukuru