Ses assises de deux jours soit du 6 au 7 juin avaient pour objectif de sensibiliser, d’engager les autorités provinciales du Tanganyika et d’influencer leurs perceptions face aux besoins des populations les plus effectuées par les violences basées sur le genre,d’inscrire leurs besoins dans les plans de développement locaux sur la sécurité humaine, les droits humains et contribuer à l’instauration d’un environnement protecteur au sein des communautés affectées par la violence basées sur le genre.
Lors de cet atelier, différents modules ont été exploités entre autres les notions sur les droits de l’homme,la sécurité humaine, l’Audit social, le genre et la réponse aux violences basées sur le genre
Cet atelier de préformation est une opportunité pour les autorités d’améliorer leurs connaissances et la capacité en matière de sécurité humaine pour leur permettre de cibler les causes profondes du sous développement, des conflits et de crises humanitaires mais aussi promouvoir une meilleure protection et autonomisation des personnes touchées.
27 personnes dont 20 hommes et 7 femmes ont pris part à cet atelier. Ces derniers sont notamment des divisions provinciales et responsables territoriaux, du plan, des droits humains, du genre famille et enfants, de l’intérieur, de la santé, des affaires sociales et de la justice, de l’assemblée provinciale et des organisations non gouvernementales (VMI,AIDES ,CDJP, OIM etc…ainsi que les journalistes de la place.
Ce projet est financé par l’Unité de Sécurité Humaine du département de paix des nations unies exécuté dans la province du Tanganyika par le BNCDH et le HCR.
Par Musinde Ngungwa Nelly/Rédaction Ndenga News