Ces assises de trois jours ont réuni plusieurs personnalités politiques, sanitaires, universitaires et scientifiques venues des coins stratégiques du monde entier. Du 28 au 30 mai 2024, plus d’une cinquantaine des communications ont été exposées devant un parterre d’invités spéciaux dans l’amphithéâtre de l’institut national de recherche biomédicale (INRB). C’est l’université de Kinshasa qui a accueilli cette grande messe scientifique organisée sous le thème : < l’approche one health pour innover dans les maladies infectieuses : des slogans aux actions>.
L’université de Lubumbashi qui a reçu des présents en termes des cadeaux pour sa meilleure gestion one health, se fait représenter par le professeur ordinaire Mwembo Tambwe – A – Nkoy directeur général de l’école de santé publique de cet alma mater. Il était accompagné du chef des travaux Adrien KES coordonnateur Master au sein de cette institution d’enseignement universitaire publique.
Au chapitre des exposés, ce représentant du Recteur Kishiba Fitula Gilbert a focalisé sa communication sur le thème intitulé : < l’expérience de la mise en œuvre du programme de formation one health à l’école de santé publique de l’UNILU>. Le gynécologue Albert MWEMBO a partagé son expérience avec les convives qui ont salué la gouvernance, le dynamisme, l’organisation et le travail bien fait des équipes de l’université de Lubumbashi. Ils ont promis de descendre très prochainement dans la capitale cuprifère, pour s’inspirer du modèle de cette école de L’UNILU LA MEILLEURE, qui se différencie dans la programmation des cours, dans la direction des mémoires one health et autres atouts unanimement salués par les partenaires.
Il faut signaler que plusieurs disciplines scientifiques ont contribué à la réussite de cette activité. Des anthropologues, des vétérinaires, des économistes, des juristes, des biologistes et des communautés locales ont été approchés pour des réflexions one health de portée pluridisciplinaire. Sur cette liste, il faut ajouter le représentant de l’institut one health pour l’Afrique (IOHA), les responsables des institutions partenaires et autres scientifiques qui ont brillamment contribué lors des tables rondes, pour ressortir des analyses axées sur les enjeux sociétaux.
Par Béni RASHIDI /RADIO PHOENIX UNIVERSITÉ