Cet atelier de formation a concerné une quarantaine de participants dont 15 femmes et a été pour le ces participants d’un intérêt fruitiers. L’atelier a été facilité par le Haut-Commissariat des Nations pour les Réfugiés (UNHCR) pendant 5 jours. Ces participants ont été sélectionnés parmi les acteurs socio-politiques de la province du Haut-Katanga et du Tanganyika.
L’objectif poursuivi par cette agence de Nations-Unies à travers cet atelier de formation est de mettre dans un contact très direct ces experts sociaux et politiques face aux besoin primordiaux des enfants. Cette session de formation a connu la facilitation de la chargée de protection au sein de cette institution onusienne Madame Cathi MONNI Danielle. Cette experte en question de protection au sein du UNHCR est venue de la sous-délégation de Kalemie. Pour la circonstance, 4 modules impliquant l’environnement protecteur de l’enfant ont été abordés. A l’issue de ces assises pratiquement techniques et pratique permettant d’atteindre les objectifs sur le terrain, Madame Cathi MONNI a rappelé l’importance de placer l’intérêt supérieur de l’enfant pour sa protection durable et a émis les vœux de voir la mise en application de certaines recommandations par les participants. « Cette session de formation était plus qu’importante, un rendez-vous d’être outillé sur plusieurs aspects qui concernent la protection de l’enfants. Beaucoup de choses nous échappaient en matière de protection de l’enfant. J’estime que nous pouvons repartir sur de nouvelle base » a indiqué Julienne Kabange participante a l’atelier de formation.
En république démocratique du congo, plusieurs enfants font face chaque année à des conséquences de la fluctuation liées au contexte socio-économique, chose à la base de nombreux cas qui portent atteinte à leurs droits. C’est pourquoi le gouvernement congolais avec ses partenaires d’appui dont le UNHCR a élaboré le plan d’action pour renforcer la prise en charge des enfants dans presque tout le secteur.
Par Pierre Kabwe et Furahisha Zabuloni.