Dans une décision marquante, maître Bernard Ngoy SAIDI, Président fédéral urbain d’Ensemble pour la République, a annoncé sa suspension de prendre part à toutes les activités organisées par la Coordination Provinciale de son parti au Tanganyika. Cette suspension pourrait avoir des répercussions importantes sur la […]
A LA UNESelon plusieurs sources concordantes, c’est l’Université de Hasselt, l’Université de Gand, l’Université d’Anvers et la Vrije Universiteit Brussel. Elles sont annoncées du 23 au 28 septembre 2024. Les mêmes sources confirment que ces délégations qui se feront accompagner par une représentante du bureau de la […]
A LA UNESur ces chiffres, 941 sont des licenciés issus de l’ancien système, et qui ont été collés le mardi 17 septembre 2024, et 417 le samedi 21 septembre 2024; tous honorés dans l’amphithéâtre de l’excellence professeur ordinaire Kalaba Mutabusha Gabriel, un cadre totalement métamorphosé pour la […]
A LA UNEL’atelier d’appropriation du Nexus par les autorités au Tanganyika a connu la participation du Gouverneur de la province, les 10 ministres provinciaux, les chefs de division provinciale, les membres de la société civile, les représentants des organisations nationales et internationales et les Représentants des Agences, […]
Dans une décision marquante, maître Bernard Ngoy SAIDI, Président fédéral urbain d’Ensemble pour la République, a annoncé sa suspension de prendre part à toutes les activités organisées par la Coordination Provinciale de son parti au Tanganyika. Cette suspension pourrait avoir des répercussions importantes sur la […]
A LA UNEDans une décision marquante, maître Bernard Ngoy SAIDI, Président fédéral urbain d’Ensemble pour la République, a annoncé sa suspension de prendre part à toutes les activités organisées par la Coordination Provinciale de son parti au Tanganyika.
Cette suspension pourrait avoir des répercussions importantes sur la dynamique interne du parti, en particulier en ce qui concerne la confiance des membres envers les membres actuels de la coordination provinciale du Tanganyika.
Les observateurs politiques s’interrogent sur les conséquences de cette décision, qui pourrait inciter d’autres membres à remettre en question la gestion d’Ensemble pour la République dans la province du Tanganyika et à revendiquer des réformes.
Malgré cette situation délicate, Bernard Ngoy tient à souligner son engagement envers le parti Ensemble. « Nous allons continuer à être membre d’ensemble pour la République car c’est ça notre engagement. Nous ne voulons que voir un changement dans la manière de gestion au sein du parti au niveau de la Coordination Provinciale », a-t-il déclaré à notre rédaction.
il s’interdit toute fois de faire un commentaire sur sa décision aux médias pour l’instant mais il pourrait le faire si on le force la main.
Il semble que » des correspondances avaient été adressées par la Fédération Urbaine et Territoire au secrétariat général du parti. Une copie a même été envoyée aux membres de la Coordination Provinciale du Tanganyika et au président national, dans lesquelles ils ont retirer leur confiance envers les dirigeants de la Coordination Provinciale jusqu’à ce que l’ordre soit rétabli » Salon certaines sources internes du parti.
La décision de maître Bernard Ngoy met en lumière les tensions croissantes au sein de la Coordination Provinciale d’Ensemble pour la République Tanganyika. Sa volonté d’initier des changements dans la gestion pourrait bien devenir le catalyseur d’un mouvement plus large pour réformer le parti.
Les prochains jours seront cruciaux pour observer l’évolution de cette situation et ses impacts sur l’ensemble des membres et sympathisants du parti.
Selon plusieurs sources concordantes, c’est l’Université de Hasselt, l’Université de Gand, l’Université d’Anvers et la Vrije Universiteit Brussel. Elles sont annoncées du 23 au 28 septembre 2024. Les mêmes sources confirment que ces délégations qui se feront accompagner par une représentante du bureau de la […]
A LA UNESelon plusieurs sources concordantes, c’est l’Université de Hasselt, l’Université de Gand, l’Université d’Anvers et la Vrije Universiteit Brussel. Elles sont annoncées du 23 au 28 septembre 2024. Les mêmes sources confirment que ces délégations qui se feront accompagner par une représentante du bureau de la structure de la coopération VLIR-UOS, ont plus un agenda qui s’inscrit en profondeur, dans une approche purement scientifique. La présence de ces chercheurs des universités belges flamandes, très diversifiés, est à rechercher dans le cadre de l’évaluation du projet de coopération universitaire institutionnelle, visant l’amélioration des conditions socio-ecologiques au sein de l’Arc Cuprifère Katangais, deux ans après son lancement officiel par le Recteur Gilbert Kishiba Fitula de l’université de Lubumbashi. C’était en Octobre 2022, soit quatre mois après le passage du couple Royal des Belge à l’UNILU.
Au cours de ce séjour lushois de cette grande délégation des belges à l’UNILU, il sera lancé la première édition de la journée des jeunes chercheurs de l’UNILU. Très concrètement, l’UNILU va ouvrir la porte à ses partenaires non académiques pour assister à cette première édition, au cours de laquelle les doctorants présenteront leurs résultats de recherche, sur la préservation de la biodiversité et des services écosystémiques en contexte de changement climatique, l’environnement et la santé, la gouvernance et la sécurité, l’entrepreneuriat, l’agriculture climato-intelligente.
Il faut signaler que toutes ces prouesses, s’inscrivent dans la vision du professeur ordinaire Gilbert Kishiba Fitula recteur de l’UNILU LA MEILLEURE, qui n’a cessé de vanter les mérites de la coopération et ses actions à impact visible au niveau macro sociétal.
A titre de rappel, il y a peu dans le même cadre, l’UNILU venait de recevoir une autre délégation belge d’une trentaine des personnes composée exclusivement des scientifiques et academiques de l’Université libre de Bruxelles (ULB), de l’Université de Mons (UMONS) et de l’Université de Liège (ULiege). C’était exactement en début du mois de Septembre 2024. Cette prestigieuse rencontre qui a mis autour d’une table les délégations au plus haut niveau, était sanctionnée par le renouvellement du partenariat privilégié UNILU et ULB, par la signature de la convention de collaboration UNILU-UMONS, par le démarrage du projet Marafiki (UNILU et ULiège), par la signature des conventions d’échange d’étudiants entre les Facultés d’Architecture de l’UNILU et de l’ULB, et enfin par un nouveau microprojet étudiants des facultés d’architecture de L’UNILU et de l’ULB sur les sanitaires durables.
Il sied de rappeler que pour saluer la vision et le leadership du professeur ordinaire Kishiba Fitula Gilbert Recteur de l’université de Lubumbashi, deux médailles lui ont été octroyées, à titre symboliques par les délégations belges de l’UMONS et l’ULB, qui ont tenu à saluer de vive voix, l’apport du comité de gestion de l’UNILU et l’implication personnelle de son recteur, le professeur ordinaire Gilbert Kishiba Fitula, dans la mise en oeuvre des différents programmes et projets innovants au niveau de la coopération. A en croire les propos d’un membre de l’ULB au gouvernorat du Haut Katanga, L’UNILU est un modèle de résilience des universités en période post COVID-19; et son recteur Gilbert Kishiba Fitula la fait avancer dans une logique essentiellement institutionnelle !
Par Béni RASHIDI / RADIO PHOENIX UNIVERSITÉ
Sur ces chiffres, 941 sont des licenciés issus de l’ancien système, et qui ont été collés le mardi 17 septembre 2024, et 417 le samedi 21 septembre 2024; tous honorés dans l’amphithéâtre de l’excellence professeur ordinaire Kalaba Mutabusha Gabriel, un cadre totalement métamorphosé pour la […]
A LA UNESur ces chiffres, 941 sont des licenciés issus de l’ancien système, et qui ont été collés le mardi 17 septembre 2024, et 417 le samedi 21 septembre 2024; tous honorés dans l’amphithéâtre de l’excellence professeur ordinaire Kalaba Mutabusha Gabriel, un cadre totalement métamorphosé pour la circonstance. La deuxième cohorte lancée le weekend dernier, en présence de Crispin Maalu Bungi président du conseil d’administration des universités congolaises; figure sur la liste des premiers bacheliers produits au sein de cette faculté chère au professeur ordinaire Musangamwenya Walyanga Kubabezanga Gilbert.
Toutes les autorités décanales, chefs des départements, personnels scientifiques, conseil consultatif au niveau facultatif, jusqu’aux gestionnaires du bureau informatique, étaient bel et bien présents, et suivaient attentivement le recteur de l’université de Lubumbashi, le professeur ordinaire Kishiba Fitula Gilbert qui lisait la traditionnelle formule des collations des grades académiques. C’est le professeur ordinaire Kalala Ilunga Mathiesen, doyen de la faculté de droit de cet alma mater, qui a révélé à l’assistance ces chiffres impressionnants, qui sont l’émanation des délibérations par différents jurys nommés.
De la lecture de plus d’un millier des noms, en passant par les pas des danses des lauréats, sans oublier les fatidiques séances des photos et selfies entre collègues de promotion et leurs encadreurs, jusqu’à la collation définitive, l’ambiance était indescriptible et la joie à son comble. Les membres des familles qui se comptaient par milliers, jubilaient et poussaient des cris de joie, par le canal des vuvuzelas et sifflets assourdissants, une façon pour eux de rendre hommages aux braves enseignants de cette université, qui ont doté un savoir de qualité à leurs proches a indiqué Kasampe Maloba une mère de famille.
A la question de savoir, qu’est ce qui explique cet intéressement et cet attachement des anciens et nouveaux diplômés d’état aux études en droit à l’université de Lubumbashi, les réactions se diversifient d’une personne à une autre, mais trois explications reviennent sur presque toutes les lèvres, à savoir la valeur internationale du diplôme, le prestige de cette discipline scientifique et la qualité de l’enseignement.
Par Béni RASHIDI / RADIO PHOENIX UNIVERSITÉ
L’Université Libre de Kisangani (ULKIS) déverse sur le marché d’emploi 169 candidats à la libération de la première session dont 76 bacheliers du système LMD et 93 licenciés anciens système. Et ce, après la clôture de l’année académique 2024-2025, suivis de la collation des grades […]
A LA UNEL’Université Libre de Kisangani (ULKIS) déverse sur le marché d’emploi 169 candidats à la libération de la première session dont 76 bacheliers du système LMD et 93 licenciés anciens système. Et ce, après la clôture de l’année académique 2024-2025, suivis de la collation des grades académiques.
Ces lauréats sont des facultés de sciences juridiques, des sciences de la société et de l’homme, de sciences informatiques, de médecine, de sciences administratives et politiques, de l’économie, de la santé publique, de l’institut supérieur de technique médical de l »ULKIS, a précisé le secrétaire général académique de cette université, dans son rapport annuel.
Dans sa politique générale, le Recteur de l’Université Libre de Kisangani, Alphonse Mbate, a mentionné la devise de cet établissement : « qualité, excellence et méritocratie ». La devise sur base de quelle les lauréats de cet établissement ont été formés.
En parlant de la qualité, le recteur de L’ULKIS a précisé que son institution a participé, à travers sa personne et à travers son secrétaire général académique, aux différentes séances d’assurance de qualité par les formateurs venus d’ailleurs.
Ces séances ont été organisées par le ministère de l’enseignement supérieur et universitaire (ESU) sur toute l’étendue du pays, pour toutes les universités publiques et privées dans le pays.
Le Recteur a insisté sur les formations qui répondent aux besoins du marché de l’emploi, et qui tiennent compte du contexte national, provincial et universel.
Le professeur Alphonse Mbate, a affirmé que l’ULKIS a augmenté sa connectivité aux différents monteurs de recherche pour les échanges scientifiques, notamment pour les étudiants. Et les participations aux nationales et internationales conférences.
L’établissement a aussi augmenté le nombre des universités partenaires dans les domaines de la recherche et de l’enseignement.
Parmi ces universités, il y a notamment, l’Université Libre de Likasi, de Lubumbashi, de Kolewezi, et de Kinshasa qui est leur Alma mater.
L’ULKIS est partenaire de l’Université Sheik Anta Diop de Dakar, au Sénégal. Dans cette optique de l’excellence, les assistants et les chefs de travaux ont pris l’inscription dans des écoles doctorales du pays, et d’ailleurs.
Cependant, dans son allocution, le secrétaire général académique de l’université libre de Kisangani, Dr Ludovic Mbaya Nsoba professeur associé, à souligné que l’institution a employé 89 enseignants.
Parmi eux, professeurs ordinaires, professeurs associés, chef de travaux avec ou sans diplôme d’études approfondies et assistants.
Par la même occasion, il a précisé que l’institution a enregistré beaucoup d’étudiants au début de l’année, mais il y a eu déperdition, suite notamment au moyen financier.
Signalons qu’à l’Université Libre de Kisangani, les inscriptions pour l’académie 2024-2025 ont déjà commencé, comme dans tous les établissements de la place.
Par Vincent Mashauri/Radio Ndenga News Kisangani
Le Programme de désarmement démobilisation relèvement communautaire et la stabilisation PDDRC-S, a annoncé des avancées significatives dans les efforts de paix en territoire de LUBERO. 287 ex-combattants ont été démobilisés, réinsérés dans la vie civile grâce au financement de l’unité d’appui des Nations-Unies dans la […]
A LA UNELe Programme de désarmement démobilisation relèvement communautaire et la stabilisation PDDRC-S, a annoncé des avancées significatives dans les efforts de paix en territoire de LUBERO.
287 ex-combattants ont été démobilisés, réinsérés dans la vie civile grâce au financement de l’unité d’appui des Nations-Unies dans la région.
Eric MASINDA, le chef d’antenne PDDRC-S BUTEMBO et LUBERO salue l’impact positif de ce programme dans la communauté.
Les ex-combattants qui ont répondu présent à l’appel du chef de l’État sont maintenant dans leurs communautés respectives à travers le projet » MUDA WA AMANI ».
il faut signaler que 72 autres ex-combattants attendent encore leurs insertions complètes dans ce territoire.
Le PDDRC-S, antenne de LUBERO offre un espoir pour l’avenir de la région car ce programme contribue à renforcer la stabilité et favoriser la réconciliation.
Par Désiré Muhiya
Kalemie, 21 septembre 2024, La retraite stratégique dédiée à la relance de la vaccination de routine dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika s’est enfin conclue, marquant une étape significative dans l’engagement des autorités et des acteurs de la santé à améliorer les taux […]
A LA UNEKalemie, 21 septembre 2024, La retraite stratégique dédiée à la relance de la vaccination de routine dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika s’est enfin conclue, marquant une étape significative dans l’engagement des autorités et des acteurs de la santé à améliorer les taux de vaccination dans ces régions.
Durant ces trois jours de travaux intensifs, les participants ont abordé divers sujets cruciaux, allant des obstacles logistiques à l’importance de la sensibilisation communautaire. Les échanges ont permis d’identifier des solutions concrètes pour surmonter les défis qui entravent l’accès aux vaccins dans ces trois provinces. Cette retraite de plaidoyer destinée aux autorités politico-administratives, sous financement conjoint MoU qui veut dire mémorandum d’entente avec ses bailleurs des fonds notamment Usaid, Gavi et bill et Melinda Gates.
Le ministre de la Santé dans la province du Tanganyika, a salué les efforts déployés : « Nous avons réussi à établir un dialogue constructif entre toutes les parties prenantes. Les recommandations formulées ici seront essentielles pour redynamiser notre stratégie vaccinale. »
Docteur Benoît Malumbi, a ajouté que cette approche MoU, n’est seulement pas une occasion seulement d’échange entre Gouvernements de ces trois régions et les Partenaires œuvrant dans le domaine sanitaire, c’est plutôt un moment fort qui a permis à ces provinces de saisir les recommandations des participants et élaborer une feuille de route : « Ce mémorandum a été signé en 2019 et c’est jusqu’à 2027. Cette assise qui a voulu évaluer ce qui a été fait avant pour pouvoir relancer cette entente. Par rapport à la couverture vaccinale, les provinces qui ont eu à signer ce mémorandum d’entente ont pu trouver des avancées positives mais il se pose un problème par rapport à l’engagement financier. Ce qui a fait que les bailleurs des fonds se sont mobilisés ensemble avec les parties prenantes qui sont nos provinces, pour voir les difficultés qui font que nos provinces ne puissent pas respecter nos engagements. Pour la province du Tanganyika, d’abord c’est l’engagement financier qui pose problème. Je pense qu’avec toutes ces recommandations, nous allons nous améliorer ».
Docteur Kainda Kasela Pitchou, Ministre Provinciale d la santé dans la province du Lualaba a indiqué à la fin d cette retrait que l’approche MoU a permis à sa province d’avoir des résultats prometteurs : « depuis 2019, nous avons remarqué l’amélioration de la couverture vaccinale malgré qu’au début de l’année 2019, la couverture était un peu basse. Je n’ai pas de précisions sur le chiffre exact. Mais pour le moment, il y a une grande différence par rapport aux résultats que nous avions en 2019. Donc, c’est pour signifier que cette politique de MoU est en train d’aider notre province sur le plan de la couverture vaccinale ».
Recommandations, une relance assurée.
À l’issue de cette retraite, plusieurs recommandations ont été mises en avant :
La clôture de cette retraite stratégique n’est pas une fin, mais plutôt un nouveau départ pour le programme de vaccination dans ces provinces. Les participants s’engagent à mettre en œuvre rapidement les recommandations formulées et à maintenir un dialogue constant entre tous les acteurs impliqués.
L’espoir est désormais palpable que ces efforts conjugués permettront non seulement d’augmenter le taux de vaccination, mais aussi d’instaurer une culture durable autour de la santé préventive au sein des communautés du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika.
Les participants à cet événement ont affirmé que l’avenir semble prometteur pour la vaccination dans ces provinces. La collaboration entre le gouvernement, les ONG et les communautés locales sera essentielle pour garantir que chaque enfant bénéficie du droit fondamental à une vie saine.
Par Jérôme BATANGE.
Kalemie, le 19 septembre 2024, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) a organisé une importante réunion à Kalemie pour présenter ses priorités opérationnelles pour l’année 2025. Face à un contexte financier particulier, le HCR s’efforce d’optimiser ses ressources tout en maintenant son […]
A LA UNEKalemie, le 19 septembre 2024, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) a organisé une importante réunion à Kalemie pour présenter ses priorités opérationnelles pour l’année 2025. Face à un contexte financier particulier, le HCR s’efforce d’optimiser ses ressources tout en maintenant son engagement envers les réfugiés en République Démocratique du Congo. La nouvelle stratégie, discutée en étroite collaboration avec les autorités gouvernementales, la société civile et les partenaires humanitaires, vise à concentrer les efforts sur des actions concrètes et mesurables, en s’appuyant sur des données solides.
Au cours de ces assises, les participants ont conjointement mis un accent particulier sur les priorités des interventions urgentes afin d’aboutir à des solutions durables d’ici 2025.
Selon Monsieur Aimery MBOUNKAP, Administrateur chargé de programme au sein au HCR bureau de Kalemie, ce cadre d’échange vise à intégrer la planification des besoins ressentis par les bénéficiaires suivant les avis du gouvernement pour une meilleure efficacité des interventions sur terrain.
» Nous avons défini des stratégies pour la période 2022 – 2026 qui nous poussent à prendre en compte les besoins non seulement des bénéficiaires mais aussi les requête du gouvernement pour avoir une approche qui saurait avoir le meilleur impact possible dans la vie de nos bénéficiaires » Celui-ci précise que, » contrairement aux années précédentes, nous avons, dès le départ, dû travailler avec non seulement les bénéficiaires mais aussi nos partenaires du gouvernement de manière à être les plus éfficaces que possible «
Les principaux axes de cette nouvelle stratégie devant s’aligner sur le plan global de développement du Gouvernement de la RDC et des plans de développement provinciaux qui sont principalement les suivant selon le cas échéant :
Du côté du gouvernement, Maître MUME ABDALLAH ASSANI, coordinateur provincial du service de protection civile, se dit satisfait de ces discussions, qui selon lui, vont permettre le suivi et évaluation de l’action humanitaire selon le planning du gouvernement pour les bien-être des communautés locales.
« …le gouvernement devrait à son tour prendre ses responsabilités pour faire le suivi de toute l’action humanitaire menée dans la province ; cela nous éviterait de marcher à contre-courant par rapport aux interventions des acteurs humanitaires qui appuient les communautés dans notre province »
Les résultats de cette rencontre sont encourageants :
Il faut noter que le Haut-commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés_HCR en particulier la sous-délégation de Kalemie, accompagne le gouvernement à travers une série d’interventions menées dans le cadre humanitaire, notamment dans la fermeture des sites de déplacés ainsi que l’intensification de l’autonomisation des communautés vulnérables sur l’ensemble de la province du Tanganyika.
Par la Rédaction ✍/PAUL ILUNGA Boniface
Du 19 au 21 septembre, la ville de Kalemie accueille une retraite stratégique cruciale dédiée à la relance de la vaccination dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika. cette retraite de plaidoyer destinée aux autorités politico-administratives, visant à relancer les activités dans les provinces […]
A LA UNEDu 19 au 21 septembre, la ville de Kalemie accueille une retraite stratégique cruciale dédiée à la relance de la vaccination dans les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika. cette retraite de plaidoyer destinée aux autorités politico-administratives, visant à relancer les activités dans les provinces sous financement conjoint MoU qui veut dire mémorandum d’entente, réunit des responsables de la santé, des décideurs politiques et des acteurs communautaires ainsi que les Partenaires techniques et Financiers pour discuter des enjeux liés à la vaccination et élaborer des plans d’action adaptés aux besoins spécifiques de chaque province. à-travers cette approche de mémorandum d’entente, les bailleurs des fonds notamment Usaid, Gavi et bill et Melinda Gates a incité à ces bailleurs des fonds à soutenir cette approche qui a permis à avoir un résultat significatif.
La vaccination est un pilier fondamental de la santé publique, mais ces dernières années, plusieurs défis ont entravé son efficacité dans certaines régions. Les provinces du Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika ont été particulièrement touchées par une baisse significative des taux de couverture vaccinale. Cette retraite vise donc à mener un plaidoyer auprès des autorités politico-administratives des trois anciennes provinces pour la relance des activités de vaccination de routine. Cela fait suite à la signature d’extensions survenues en juin 2023 avec de nouveaux bailleurs de fonds tels que Gavi et USAID. Ces assises permettront aux programmes élargis de vaccination et ses partenaires de vulgariser les résultats de la couverture vaccinale et définir les stratégies pouvant contribuer à l’augmentation du CV d’ici la fin de l’année 2024.
Les autorités politiques et Humanitaires s’engagent dans la sensibilisation.
Le vice-gouverneur du Tanganyika, Longo Mwehu Isidore, qui a représenté le Gouverneur de province, a souligné l’importance de cette activité dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale. Il a exprimé sa satisfaction quant à l’engagement collectif nécessaire pour faire face à ces défis sanitaires : « cette activité est importante pour le programme élargi de vaccination, pour la santé de nos enfants et femmes, autant que pour la RDC tout entière au regard des études qu’elle a à faire pour réduire la mortalité due aux maladies à prévention vaccinale ». a-t-il déclaré.
Le gouverneur du Haut-Lomami, Banza Mulome Marmotte, a également manifesté son soutien et son implication dans le processus de vaccination, affirmant que l’approche adoptée est essentielle pour garantir une couverture vaccinale efficace. Alors que selon cette autorité politique, sa province a réalisé jusque-là plus de 40 pourcentages, il a affirmé son ferme engagement de multiplier les efforts afin de toucher un grand nombre dans sa province qui doivent accepter la vaccination : « je suis très satisfait parce que cette approche implique l’Etat. Nous-mêmes entant que Gouverneur, nous sommes entrain de suivre les activités de la vaccination ».
Le Directeur national adjoint du Programme élargi de vaccination (PEV) Dr Augustin Milanyo, a insisté sur l’importance de l’autonomisation financière des provinces dans la lutte contre les maladies évitables par la vaccination. Il a souligné que les provinces ne devraient pas toujours dépendre des fonds des différents partenaires, mais plutôt développer leurs propres ressources pour assurer la pérennité des programmes de santé. Il a invité à cette première journée de cette retraite les autorités provinciale à la mobilisation des recettes en province pour but de pérenniser l’opération de vaccination : « avec nos impôts nous devons en charge la santé de nos populations et maintenir cet élan, puisque le financement que nous recevons de l’extérieur, ce sont les contributions de populations de l’extérieur ».
L’approche MoU, qui a déjà montré des résultats prometteurs, a été mise en avant par Amine El Mourid, chargé de programme pour la vaccination en République Démocratique du Congo à la Fondation Gates, un partenaire clé dans cette lutte. Cette retraite s’inscrit dans un cadre plus large d’amélioration des services de santé en République Démocratique du Congo.
Les participants espèrent que les recommandations qui émergeront, permettront non seulement d’accroître les taux de vaccination, mais aussi d’améliorer la confiance du public envers le système de santé. « C’est une excellente occasion pour nous tous de partager nos expériences et nos bonnes pratiques. La vaccination est essentielle pour prévenir les maladies évitables. »
Alors que cette retraite stratégique se déroule à Kalemie, l’espoir est palpable parmi les acteurs présents : celui d’un renouveau dans l’effort vaccinal au Haut-Lomami, Lualaba et Tanganyika.
Actuellement, trois provinces ont déjà mis en œuvre l’approche MoU : le Tanganyika, le Lualaba et le Haut-Lomami. Ce modèle sera étendu aux provinces du Haut-Katanga, de la Tshopo et du Kasaï oriental.
Par Jérôme BATANGE.
Le verdict est tombé à 21h30′ heures de Kisangani. Après cinq séances d’audience foraine en procédure de flagrance à la place de martyres à Kisangani sur le dossier de meurtre de 4 personnes tuées par machette au PK 10 simi simi route Yangambi, dans la […]
A LA UNELe verdict est tombé à 21h30′ heures de Kisangani. Après cinq séances d’audience foraine en procédure de flagrance à la place de martyres à Kisangani sur le dossier de meurtre de 4 personnes tuées par machette au PK 10 simi simi route Yangambi, dans la nuit du 25 au 26 août dernier.
Cinq à huit présumés auteurs ont été jugés coupables et condamnés à la peine de mort par le tribunal militaire de garnison de Kisangani ce lundi 09 septembre 2024.
Ils sont condamnés pour terrorisme, meurtre, participation à un mouvement insurrectionnel, et à 5 ans pour coups et blessures volontaires aggravés. Des charges requises par le ministère public à cause du crime qu’ils ont commis.
Trois prévenus ont été acquittés suite à l’incertitude quant à leur participation dans ce mouvement insurrectionnel, parmi eux figurent deux femmes. Le tribunal les a déclarés non coupables, et les en a acquitté purement et simplement, et avec renvoie de fait de poursuite sans frais.
Statuant sur les intérêts civils, jugée recevable et fondée, la demande de réparation de dédommagement de la partie civile personne morale et physique, le tribunal militaire de garnison de Kisangani a condamné tous les prévenus au payement du dommage qu’ils ont causé.
Pour FONAREV qui est la personne morale, le tribunal a requis l’allocation de dommage et intérêt de l’ordre de 100 milles dollars américains, payables en francs congolais.
Pour la partie civile personne physique : pour les quatres victimes tuées, les prévenus condamnés doivent leur payer 75 milles dollars américains par chacune. Et pour les cinq blessés se trouvant à l’hôpital, ils leur payeront 100 milles dollars américains chacun, payable en Francs congolais.
Un jugement qui ne fait pas l’unanimité du côté du collège des avocats de la partie défense des prévenus. Maître René Wenga, défenseur judiciaire près le tribunal de grande instance de Kisangani, n’est pas satisfait du jugement.
« Je ne suis pas satisfait des condamnés. Parce que, par rapport aux moyens de défense que nous avons avancés, la constitution de partie civile ne tenait pas debout. Alors le juge ne devrait pas faire foi des allégations ou encore de narration de faits donnés par les incapables en droit », a-t-il exprimé sa déception.
Maître René Wenga ne compte pas en rester là. La loi nous reconnaît le droit d’acter l’appel une fois qu’on n’est pas satisfait de la décision. Alors pour d’autres prévenus qui ne sont pas acquittés nous allons interjeter l’appel. Et nous sommes sûrs qu’au niveau de l’appel nous allons arracher la liberté, a-t-il ajouté.
La partie prévenue a 5 jours à compter de la date du jugement pour interjeter l’appel.
Par Vincent Mashauri/Radio Ndenga News Kisangani